• La rencontre.

     

         C’est le grand jour, aujourd’hui je la rencontre. Cela fait une semaine que nous discutons. J’ai fait la connaissance sur un site de rencontres, nous avons tout de suite accroché car nous avions les mêmes attentes les mêmes « délire » aujourd’hui nous sommes vendredi et ce soir nous avons prévu de nous rencontrer

         Son prénom est Sophie, elle a 33 ans, elle habite Lyon et comme moi elle a une petite fille. Moi c’est Jérôme 30 ans, célibataire depuis six ans, j’ai un petit garçon. Nous recherchons tous les deux une relation sérieuse, une relation simple avec des projets et une vie à deux.

    Je stresse de plus en plus, je n’ai pas beaucoup dormi cette nuit. Je suis réveillé depuis cinq heures, je tourne et retourne dans mon lit je ne pense qu’à cette rencontre. Nous avons convenu qu’elle viendrait à la maison pour boire un verre et puis si l’entente se confirme manger ensemble. Journée avance nous nous écrivons, nous sommes aussi excité l’un que l’autre de cette rencontre, nous sommes impatients de nous retrouver ce soir.

         Leur fatidique arrive, il est 18 heures, je stresse je vérifie que tout est en place et que l’appartement est propre, dernière vérification des vêtements, du parfum, l’interphone retentit. C’est elle, elle est derrière ma porte. Trois, deux, un. Ça y est j’ai ouvert la porte, nous nous retrouverons face a face. Elle s’approche de moi nous échangerons une embrassade, immédiatement elle me met à l’aise. Nous nous installons sur le canapé pour discuter et faire connaissance de vive voix, je lui sers un premier vers de wiskhy coca et je l’accompagne, l’atmosphère se détend rapidement.

         Je cela fait déjà deux bonnes heures que nous discutons, que nous rigolons. Nous nous sommes rapprochés physiquement, l’écart entre nous se réduit. Mon cœur bat à la chamade, mes mains sont un peu moites, j’ai envie de l’embrasser, j’ai envie de la toucher. Je n’ose pas, je ne voudrais pas la brusquer. Tout de go elle m’avoue que je lui plais énormément, je lui répond qu’elle aussi. J’imagine que ce serait le moment de l’embrasser mais je ne sais pas. Je ne sais plus quoi faire je ne sais plus quoi dire, je reste bête devant elle nous en plus bouger n’arrivant plus à parler. Soudain c’est elle qui bouge.

         Sens que je vais m’y attendent vraiment Sophie s’est rapprocher de moi plus que je ne m’y attendais, nous nous sommes retrouvés lèvres contre lèvres. Oui Sophie a fait le premier pas, elle est venu m’embrasser. C’est lèvres sont douces, son parfum m´ennivre. Je lui rends son baiser, nous nous embrassâmes un long moment, je ne veux pas que ça s’arrête alors je la sers contre moi. Mais bras l’enlacent, mes main se posent sur son visage, je parcours ce dernier, je lui rends son baiser, nous nous embrassâmes un long moment, je ne veux pas que ça s’arrête alors je la sers contre moi. Mais bras l’enlacent, mais main se posent sur son visage, je parcours ce dernier. Sophie en fait de même, je sens ses mains qui parcourent mon dos puis remontent pour arriver au niveau de ma nuque, puis je les sens caresser mon visage. Nous nous enlaçons tout en nous embrassant encore un long moment. Soudain elle s’arrête, plante son regard dans le miens. Une vague de chaleur m’envahie, depuis que nous avons commencé à nous embrasser mon caleçon c’était tendu et il me semble qu’elle s’en aperçue. Nous nous regardâmes un long moment sans rien dire jusqu’à ce moment précis.

         Elle baissa son regard pour le diriger au niveau de mon entre-jambe puis le remonta pour me regarder droit dans mes yeux. Ses mains lâchent mes mains pour venir se poser sur mon corps, elles les posa sur mon torse, descendit sur mon ventre pour arriver au niveau de ma ceinture et enfin se posa sur cette bosse. Cette vague de chaleur qui m’avait envahi s’intensifie. «Je suis heureuse de te faire cette effet, fais moi découvrir ta chambre car tu ne me laisse pas indifférente » me dit-elle

    Je l’attrape donc par les mains pour l’emmener dans ma chambre, nous nous retrouvons dans le noir. Elle prend les devants, se jette sur moi pour m’embrasser. Elle enlève mon t-shirt pour le faire voler à travers la chambre. Puis m’embrasse le cou, descend sur mon torse, jour un peu avec mes tétons. Je les sens très dur tout comme mon entre-jambe. Elle descend encore. Elle est sur mon ventre, ses mains qui parcouraient mon corps se posé sur ma ceinture. Elles défont ce bout de cuire, défont le premier bouton, le deuxième, le troisième. Mon pantalon est complètement ouvert et descend le long de mes cuisses puis de mes mollets aidé par les mains de Sophie. Je lève un pied puis l’autre pour l’enlever complètement, il rejoint mon t-shirt. 

    Son visage se retrouve au niveau de la bosse que crée mon sexe à travers mon boxer. Elle fait tomber doucement mon boxer au sol. Mon penis est libéré, droit, dresser face à son visage. 

         Les mains de Sophie se pose et enserre mon sexe bandé. Ses lèvres embrassent ce dernier. Elles embrassent mon gland, elles embrassent ma verge de haut en bas. Je suis encore debout, elle est à genoux. Elle se relève. Sophie se déshabille. Je découvre à travers la pénombre une magnifique poitrine. Elle me pousse sur le lit, je m’allonge. Elle me rejoint.

    Nous sommes allongé sur le lit, nu. Elle vient au dessus de moi, mon sexe au garde à vous effleure son intimité. Elle l’attrape de ses mais pour le plaqué sur mon ventre. Elle vient appuyé son minou dessus puis commence à se frotter contre ma queue. Elle fait quelques vas et viens puis descend. 

         Sophie recommence ses bisous sur ma verge. Ses mains accompagnent à nouveau ses lèvres. Ses lèvres s’ouvrent pour embrasser goulûment mon gland et glisser ensuite le long de cette verge au garde à vous depuis maintenant très longtemps. Elle entame une fellation divine. Je n’en reviens pas car elle m’avait dis que rien ne se passerai et pourtant elle est là, chez moi, dans mon lit, nue en train de me sucer.

    Je suis excité depuis tellement longtemps que je sens déjà le jus monter sous ses coups de langue, je le retiens car je n’ai pas envie que ça s’arrête si vite. Je lui demande donc de ralentir sinon je vais jouir rapidement. Que néni elle accélère, ses mains me branlent vigoureusement, sa bouche accélère les vas et viens de haut en bas. Je n’en peux plus je lui dis que je vais jouir, là sauce est prête à jaillir. Elle accélère encore, enfonce mon gland au fond de sa gorge, elle continue à me branler. Elle doit sentir le jus monter le long de ma verge. Je me crispe et dans un râle de jouissance je me répand au fond de sa gorge. Une première vague l’envahit, puis une deuxième, une troisième, une quatrième. Elle avale encore et encore, elle lèche ma queue pour n’en laisser aucunes gouttes. Essuie des lèvres de ses doigts et enfonce ses derniers dans sa bouche pour se délecter de mon sperme. Elle remonte vers moi, ses seins et plus précisément ses tétons effleurent mon ventre et mon torse. Elle couvre mon ventre, mon torse de bisous. Ses bisous dans le cou me font frissonner. Nous nous embrassons, nous enlaçons. J’ai encore envie d’elle.

         Je l’embrasse, mes mains parcourent son corps commençant par son dos. Je caresse le haut de son dos, puis je descend, je descend encore. J’arrive au creux de ses reins, puis sur ses fesses. Son cul est ferme, rond, agréable à palper. Je le malaxe fort pour doucement. J’attrape Sophie par les hanches et tout en l’embrassant je la retourne sur le dos. J’embrasse son cou, je la sens frissonner. Elle gémit un petit peu. Je descend et m’attarde sur son seins gauche, son tétons gauche. Ce dernier est dur, dressé. Sophie se tortille, Sophie gémit, ses mains passe dans mes cheveux. J’abandonne ce seins gauche si délicieux pour rejoindre le droit. Son téton et toit aussi dur et dressé que le gauche. Sophie se tortille toujours, Sophie a toujours ses mains dans mes cheveux. Je joue avec ce tétons, elle se crispe. «Elle va jouir? » Elle devient raide, tendu et d’un coup, dans un crie qui me surprend, elle joui. J’imagine qu’elle est en train de jouir car son corps se détend d’un seul coup.

    Je relève là tête et dans la pénombre je distingue ses yeux qui le regardent. « Continue me dit-elle »

          Je continue donc mon chemin. J’arrive sur mon joli petit ventre, descend encore pour arriver sur le pubis. Un pubis lisse. Je contourne sa vulve par la gauche. J’embrasse et lèche son aine, continue ma route le long de sa cuisse. Je descend, je descend encore. Me voilà au niveau de son pied gauche.

    Je suce un petit peu son orteil, ça n’a pas l’air de la laisser indifférente. Je passe au pied droit, et remonte le long de son mollet droit, sa cuisse droite. J’arrive dans l’aine droite, elle se tortille et je la sens frissonner. Doucement je me rapproche de sa vulve. Je sens la chaleur qu’il s’en dégage, je commence à sentir son humidité.

         Ma langue frôle son minou, j’effleure son clitoris qui est déjà extrêmement dur et gonflé. Je sens ses mains dans mes cheveux. Alors que j’effleure toujours son clitoris puis ses petites lèvres, c’est elle qui me plaque le visage sur son bouton d’or. «Mange là moi j’en peu plus »

    Je l’écoute, surpris et m’exécute. Je pose ma langue fermement sur son clitoris pour jouer avec. Je lui donne des coups de langue comme si je jouais avec un chewing-gum. Sophie crie, Sophie se tortille. Je délaisse son bouton d’or pour insérer la langue entre ses petites langues, je commence une douce et lente pénétration. Elle est humide, ça coule encore tel un petit ruisseau. Ma langue est en elle, sa cipryne entre dans la bouche. Elle est chaude, sucrée et tellement délicieuse. J’alterne entre sa chatte trempée et son clitoris. Je veux la sentir et l’entendre jouir sous mes coups de langue alors je continue encore et encore. 

    Son corps se crispe, Sophie gémit de plus en plus, elle se tortille. Avec ces mains elle maintient mon visage entre ses cuisses. J’accélère petit à petit mes mouvements, j’attrape ses hanches pour réduire ses mouvements et pouvoir profiter pleinement de cette chatte. 

    Sophie se crispe tellement que je sens qu’elle va jouir alors j’accélère encore le mouvement. Et ce moment arrive, celui que je voulais, celui que Sophie voulait. Elle joui. Elle joui encore et encore, elle éjacule littéralement. Je veux en profiter alors je vais vite mettre ma bouche devant l’entrée de sa vulve et j’avale, je bois son jus de plaisir.

         Sophie m’a fait jouir, je l’ai fais jouir également. Je remonte à son niveau, nous nous enlaçons un moment. Nous nous embrassons, nous caressons. «J’ai faim» me dit-elle, nous nous levons tout en restant nu et cherchons dans le frigo quelque chose à manger. Nous nous installons dans le canapé et grignotons un morceau. Je luis propose de rester dormir ce qu’elle accepte.

     

     

         Après ce petit repas avec Sophie nous décidons de regarder un film sous un plaid, et oui nous ne nous sommes toujours pas rhabillé. Mais cela est-il nécessaire?

    Je lance donc un film, nous somme collé l’un à l’autre nu. Je suis derrière elle, contre son dos. Son parfum m’ennivre, ses fesses sont appuyé contre mon sexe. Elle est si excitante que ce dernier se met à durcir. Elle me sent forcément. J’ai envie d’elle.

    Mes mains commence à lui caresser le dos, la nuque, les côtes, les hanches, les fesses. Je remontes mes mains en l’effleurant ce qui a pour effet de la faire frissonner. Tout en la caressant de mes mains je l’embrasse dans le cou. Elle se retourne face à moi et m’embrasse. Nous nous embrassons, nous caressons. Elle monte sur moi, se colle à moi, ses mains parcourent mon corps, les miennes en font de même sur le sien. Je sens ses tétons contre mon torse, que c’est excitant. Mon corps est envahi de chaleur.

          Une de ces mains attrape mon sexe et le présente à l’entrée de sa vulve souintante de plaisir. Mon gland est appuyé à l’entrée de sa chatte et doucement elle le fait pénétrer à l’intérieur. C’est chaud, humide. Elle l’enfonce doucement en elle, tout doucement. Me voilà au fond de son intimité, doucement elle remonte son bassin jusqu’à quasiment sortir mon gland puis redescend et là elle commence des allers retours doucement puis plus rapide. Nous nous embrassons, nous caressons pendant qu’elle me fait l’amour. C’est tellement bon, tellement agréable. Ce moment ne doit pas s’arrêter. Ses seins frotte contre mon torse, mes mains enserrant ses fesses accompagnent le rythme de son bassins. J’entend le bruit de sa cyprine qui se répand sur ma queue, son ventre claquant contre le miens. Cet instant est magique.

         Je m’aperçois qu’elle fatigue un peu à me faire l’amour dans cette position alors je la bascule sur le dos tout en restant bien ancré en elle mais Sophie le stop. Elle me demande de me retirer de sa petite chatte. Une fois cela fait elle se met à genoux, relève son merveilleux cul que je m’empresse de dévorer. 

    «Prend moi en levrette stp et donne tout, tape au fond, fais moi crier mon beau » il n’en fallait pas plus pour m’exciter encore plus.

    Je prend place entre ces jambe et d’un coup sec je la pénètre le plus profondément possible, mon pubis claque tellement fort contre son cul qu’elle en perd un petit peu l’équilibre. « Oui comme ça » me dit-elle.

    Je l’attrape par les hanches et me met à la baiser comme elle semble le vouloir. Son cul rougis sous mes coups de reins, Sophie crie encore et encore, des flots de jouissance coulent sur le canapé. Je lui propose de ce mettre en ciseaux, elle sur le côté moi enjambant une de ses cuisse et je fait entrer doucement ma queue en elle. Cette fois-ci je la pénètre vraiment profondément. Mon pubis contre son clito, ma queue bien au chaud dans son minou. Et là je reprend mes coups de reins, cette position qu’elle m’avoue ne pas connaître la fait jouir et même éjaculer instantanément. Elle est surprise elle même par la puissance de son éjaculation. Je continue un peu et moi aussi je sens ma jouissance venir. Je lui dis que je vais jouir et Sophie me demande de lui offrir cette seconde jouissance en bouche car elle a adoré la première. Alors je me retire, et commence à m’astiquer au dessus de sa bouche. Je ne m’astiquerai pas longtemps, j’enfourne ma queue dans sa bouche et lui donne tout le sperme que j’ai en moi. Je me répand en elle en plusieurs vagues successives. 

     

         Exténué nous nous écroulons l’un à côté de l’autre, l’un dans les bras de l’autre. Heureux de cette rencontre nous nous enlaçons et continuons le film avant de peut-être aller nous coucher.

    aucun commentaire



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires