• La panne

          Avant de commencer je dois vous précisez que je travaille dans la même société que ma chérie. Tout le monde sait que nous vivons ensemble mais la direction préfère que nous ne travaillons pas ensemble, ce qui peut-être compréhensible.

          Précisons faite aujourd’hui est une journée particulière car manquant de personnel ma femme et moi travaillons ensemble. La journée commença comme d’habitude par une tour du véhicule, puis départ pour notre premier transport, ensuite le second et ainsi de suite.

    Arrivé midi trente on nous donne la pause repas. Nous sommes perdu au milieu de nul par en lisière du forêt. Nous nous installons donc pour manger mais ma femme s’arrête, me regarde et me dis qu’on ne tourne jamais ensemble et qu’elle n’a pas très faim. Je pense comprendre où elle veut en venir. Mais je la laisse continuer pour en être sûr. 

    De la elle s’approche de moi, s’agenouille pour me baisser mon pantalon. À ce moment là j’ai compris que nous n’allions pas manger. La pause est courte, 30 minutes alors faut faire vite. 

            Je l’aide donc à baisser mon pantalon et mon boxer pour libérer une verge déjà bien dure. Elle ne traîne pas et commence à la sucer, c’est divinement bon. Nous sommes au milieu de nul part, ma femme me taille une pipe divinement bonne que demander de plus. Elle s’active, la lèche, joue avec mon gland, aspire mes bourses. Ma chérie s’amuse comme une folle. Le temps passe et moi j’ai envie de la prendre, la dans les bois contre un arbre. Cette idée du risque d’être surpris me met dans tout mes états et au vue de son état quand son pantalon et sa culotte se retrouve sur ses pieds, elle est aussi dans tout ces états. 

    Ne perdons pas de temps, elle prend appuie sur un arbre, cambre ses reins pour le présenter sa croupe brillante de cyprine. Je m’invite en elle et la prend fermement. Je fais claquer mon ventre contre ses fesses, je la pénètre le plus profondément possible. Elle lâche de petits gémissements. Je suis tellement excité que je veux jouir, je lui susurre à l’oreille que je vais jouir, elle me répond qu’elle aussi. Alors abandonnons nous à la jouissance.

    Après 2 3 coups de reins bien ferme je joui en elle, elle joui également et je le sens le long de ma verge. 

    Elle se retourne et me nettoie intimement avec sa bouche, c’est vraiment bon de sentir sa bouche chaude sur mon gland humide d’un mélange de sperme et de cyprine. Une fois bien nettoyé j’en fais de même avec elle en lui dévorant le minou. Je le lèche et y insérer ma langue le plus profondément possible. 

    Nous voilà bien propre et satisfait de notre pause. Les trente minutes sont écoulées il faut reprendre le travaille et celui-ci ne se fait pas attendre. 

    Nous enchaînons donc les transports. Ce qu’il c’est passé à la pause est bien entendu dans nos têtes, les images également. Mais nous sommes au travail nous ne pouvons pas nous permettre de recommencer. 

    Quoi que, peut-être que.....

     

           Notre après-midi se passe plutôt bien, les transports s’enchaînent parfaitement. Mais il y a toujours un soucis quand on s’y attend le moins. Voilà que notre véhicule s’arrête net. Plus moyen de redémarrer. Nous sommes en bord de route, heureusement en montée. J’enlève le frein à main et laisse l’ambulance jusqu’à une aire de stationnement. Une fois stationnée j’appelle mon boss puis l’assistance. Le dépanneur arrivera sous 2h. Super

           J’annonce ça à ma femme. Elle me répond que c’est la vie et qu’on s’occupera en attendant. Oula vue son regard je comprend ce qu’elle entend par « on s’occupera »

    Elle monte à l’arrière de véhicule et m’y invite. Le temps que j’arrive elle est déjà nue et allongée sur le brancard.

    Oui je ne vous ai pas dis mais nous sommes ambulancier.

               Tout en me regardant elle me dit que tout à l’heure elle est resté sur sa fin. Elle écarte les cuisses, je vois qu’elle est déjà toute humide, tellement que ça coule. Elle me demande de me dépêcher à lui lécher, lui faire un cunis. Elle me cri qu’elle n’attend que ça depuis tout à l’heure, alors je me lance dans un cuni sans fin. J’adore ça. 

    Ma langue parcourt son minou de haut en bas, insistant sur son clitoris prêt à exploser puis descendant jusqu’à l’ouverture de ces lèvres. J’appuie un peu ma langue sur cette entrée et laisse ma langue la pénétrer. C’est chaud et humide. Je lape, je savoir ce jus qui en coule. Elle n’en peut plus. Pendant que ma langue trifouillait son intimité mes doigts s’occupaient de son clito d’une part mais aussi de sa petite rondelle d’autre part. Elle était aux anges, elle me le criait. 

    D’un coup son corps c’est raidi et j’ai senti ce flot de cyprine couler sur ma langue, dans ma bouche. Ma chérie venait de jouir.

            Après avoir repris ces esprits elle se mit à 4 pattes sur le brancard et présenta sa croupe. Elle s’agrippa au brancard. Tourna la tête. Me fixa dans les yeux.

    Après un moment à se regarder yeux dans les yeux elle de dis « prend moi sauvagement, prend moi comme tu ne l’as jamais fais » c’est notre première fois dans une ambulance alors effectivement je vais la prendre comme jamais je ne l’ai fais. 

    Je pris position derrière elle, et d’un coup sec fit entrer ma verge bien au fond de sa chatte.

    Une fois bien au fond j’entrepris de la baiser sauvagement comme elle me l’a demandé. L’ambulance devait bougé, le brancard grinçait. Elle retenais des cris de plaisir, elle joui une fois, deux fois, trois fois. Je l’entend me dire qu’elle n’en peu plus, que c’est trop bon. Je lui dis que je me sens arriver. Je vais jouir.

    Elle me stoppe net, retire ma queue, se retourne et tout en me regardant me dis « maintenant donne moi tout, je veux te sentir venir dans ma bouche » 

    Je commence donc à me branler mais ça dure 10 secondes au bout desquelles je lui donne toute ma jouissance. 

     

    Juste le temps de se rhabiller que le dépanneur arrive pour nous emmener jusqu’à l’entreprise.

     

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