• Panne d'ascenseur

          Je me prénomme Angela, belle quadragénaire brune aux yeux bleus d’un mètre soixante-dix. J’ai une poitrine 95b en forme de poire. Je travaille dans une compagnie d’assurance qui se trouve au dernier étage d’un grand immeuble de la région lyonnaise. Pour le travail je suis habille en tailleur, chemisier que je laisse volontairement décolleté, toujours chaussé de talons aiguilles surplombés de bas. J’aime me sentir sexy, me sentir envié et quand je vois le regard des hommes croisé dans la rue se poser sur moi ça m’excite au plus au point.  

    Au boulot je passe pour l’allumeuse de service mais je m’en fous j’ai 45 ans et je fais ce que je veux. J’ai eu plusieurs aventures au bureaux avec des collègues. Des plans rapides entre midi et deux dans un bureau vide, dans les toilettes pour satisfaire une envie pressante mais celle que je vais vous raconter jamais je ne l’aurais rêvée. 

         Comme tout les jours je fini ma journée de travaille vers 18h et comme tout les jours je prends l’ascenseur. Je monte dedans, nous sommes 3. Deux collègues hommes de 40 et 25 ans et moi. L’ascenseur descend du dixième étage où nous nous trouvons, neuvième étage, huitième étage. L’ascenseur s’arrête brusquement entre le huitième et le septième étage. Pas grave il va repartir, cela arrive de temps en temps. Nous attendons. Nous attendons 10 minutes, 20 minutes. Nous décidons de sonner. L’opérateur nous répond qu’il est déjà au courant de la panne mais que le technicien n’arrivera pas avant deux heures. Nous savons ce qu’il en est, prenons notre mal en patience.

         Il commence à faire chaud j’enlève donc ma veste de tailleur, les hommes enlève leurs vestes de costumes. Cette chaleur me monte à la tête et je commence à m’imaginer pleins de chose. Les collègues qui sont avec moi je les connais bien, plusieurs fois ils m’ont fais des avances mais je n’y ai jamais répondu...... pour le moment tout du moins. J’ai bien vu leurs regards plonger dans mon bustier quand j’ai enlevé mon haut.

    Personne ne parle mais j’aperçois des petites bosses naître au niveau de leurs entre jambes. Je décide de détendre l’atmosphère et de prendre les choses en mains. « Les gars vous avez toujours eu envie de moi, nous sommes bloqué dans cet ascenseur alors lâchez vous, ne soyez pas peureux »

         À voir leurs regards médusés j’ai dû les surprendre alors je continue sur ma lancée et attrape celui qui est le plus proche de moi pour l’embrasser. J’invite l’autre à venir se coller contre moi, je pose ses deux mains sur ma poitrine et l’invite à me caresser. J’embrasse toujours l’autre tout en défaisant sa chemise. Son comparse avait passé les mains sous mon chemisier. Je sent ces mains parcourir mon corps, caresser ma poitrine, je fondait littéralement dans ma culotte en dentelle. Celui que j’embrassais toujours dégrafa avec attention mon chemisier et le posa dans un coin de l’ascenseur, son comparse qui était derrière moi et me caressais le corps en passant de mes seins à mon ventre mais en s’arrêtant au niveau de l’élastique de mon culotte dégrafa mon soutien gorge. Je me retourne, poitrine et ventre à nus, et embrasse ce second jeune homme. Tout en l’embrassant je lui défais sa chemise pendant que l’autre me caresse à son tour. Nous voilà tous torse nu mais cela ne me suffis pas j’en veux plus. Je prend les choses en mains car l’horloge tourne.

         Mon côté dominante prend le dessus alors lâchons les rennes. Messieurs passons aux choses sérieuses, déshabillez vous frappement. Aller on enlève le peux de vêtement qu’il vous reste. 

    Médusés mais excités les deux charmants partenaires s’exécutent aussi tôt. Tout en les matant, je laisse tomber mon tailleur ainsi que ma petit culotte au sol. J’en choisi un au hasard, le plaque contre la parois et aussitôt je lui gobe le gland. Je sens ses mains se poser instinctivement sur ma tête pour me donner le rythme. J’adore cela. Ma croupe est bien en évidence pour l’autre convive qui n’ose pas bouger. Je comprend qu’il faut l’aider un peu alors je l’attrape par les mains, l’invite à se mettre à genoux pour avoir son visage au niveau de ma vulve et de mon cul et alors que je reprend le membre déjà bien dur de mon premier partenaire en bouche j’attrape ma tête du deuxième et vient plaquer son visage dans mon entre jambe. Je lâche cette merveilleuse queue que j’ai plaisir à sucer pour demander à notre petit jeune de me bouffer la chatte comme il en a toujours rêver. Oula quelle surprise ce petit con sait parfaitement y faire et sa langue me procure un plaisir immense. Je reprends la queue en bouche mais je me sens partir, oui cette chaleur si souvent ressenti monte en moi, elle traverse ma poitrine pour arriver au niveau de mon ventre. Je la sens me parcourir de l’intérieur, oui je vais exploser. Ho putain oui ça y est j’enfile cette queue que j’ai au fond de ma bouche au plus profond pour ne pas laisser sortir un bruit et je me répand dans ma bouche innocente de ce jeune qui en profite et à l’air de prendre son pied.

    Je lui demande de ne pas arrêter et surtout de bien me lécher de partout ce qu’il fait divinement bien. Je sens sa langue parcourir ma chatte suivant mon entre cuisse jusqu’à ma raie. Je me sens ouverte aux autres vents et qu’est ce que c’est bon. En même temps je ne laisse pas mon premier partenaire sans rien car je le pompe avec intensité, j’ai envie qu’il m’envoi son fourre bien au fond de ma glotte alors je le suce en long en large, de haut en bas. Je lui dis que tout m’envoyer, je l’encourage en lui disant qu’il peut tout m’envoyer bien au fond de la bouche. Mes mains le serrent fort, mes lèvres son bien fermés contre sa verge. Je sens son corps se tendre, oui je sens le jus parcourir sa verge, me voila qui se déverse en moi. Ce jus épais, en quantité rarement vu, se répand dans ma bouche, je l’avale quel délice. 

    Je me redresse pour le laisse reprendre ses esprits et le retourne pour profiter du deuxième homme, plus jeune lui, que cette panne m’a permis d’avoir. «Ai-je un bon goût? Lui demandais-je » «Oui vous êtes délicieuse » « alors maintenant baise moi comme tu en as envie depuis longtemps »

    J’ai envie qu’il me prenne en levrette là de suite. Alors ni une ni deux je me met à 4 pattes et l’invite à me prendre. 

    Je le vois se lever, queue bien raide, je l’arrête en attrapant cette dernière et lui dis « attend je vais te goûter moi aussi » et j’enfourne sa queue bien au fond de ma bouche et commence des vas et viens. De haut en bas en faisant parcourir les lèvres de bout en bout. Je le sens qui se retiens, que ça devient dur. L’autre à bien vue qu’il n’aura pas le temps de me prendre en levrette alors il se rapproche de moi et sans rien dire entre sa queue d’un coup sec dans ma chatte. J’adore ça quand on entre en moi avec fermeté.

         Le pauvre jeune ne savait plus quoi faire alors je l’invite à se laisser aller « vas y lâche toi, donne moi tout ton jus, tu pourras me baiser après t’inquiète pas. » d’un coup je le vis se détendre et je senti son jus se déverser dans ma bouche. Il est exquis, sucré et épais comme je l’aime. 

    L’autre partenaire se faisait plaisir avec ma chatte en attendant, je mouillais comme rarement. J’entendais et sentais ses bourses taper contre mon pubis. J’étais envahi à nouveaux d’une vague de chaleur immense et je savais que j’allais jouir sous peu. Je repris mon petit jeune en bouche pour lui redonner de la vigueur et surtout pour étouffer les cris que je serai amener à émettre en jouissant. Jouissance qui arriva très rapidement. Tellement forte que j’en laisse une flaque par terre.

         Je ne suis pas du genre soumise alors je reprend les choses en mains rapidement. Je stop mon partenaire le plus âgé qui était en train de me baiser plus sauvagement. J’allonge le jeunot au sol puis l’enjambe. Délicatement je dirige sa queue en moi. Je l’enfonce le plus profond possible, le voilà il y est. Je me baisse au niveau de sa bouche et commence à l’embrasser. Je l’embrasse longuement puis laissant tomber sa bouche je lui suçurre à l’oreille que je vais lui faire l’amour et l’emmener à la jouissance au fond de ma chatte car je veux que lui aussi en profite. Je me redresse, lui attrape les mains et l’invite à me caresser. Il est toujours au fond de ma chatte. Ses mains parcours ma poitrine puis mes hanches pour arriver sur mes fesses. De là je commence mes vas et viens. Je monte tout doucement jusqu’à la limite où sa queue sortirai de mon intimité puis je redescend et ainsi de suite. Je sens des mains agrippées fermement mes fesses pour me donner le rythme. Je me repenche donc sur lui et l’invite à me gober les seins, jouer avec mes tétons qui sont déjà extrêmement durs. Du coin du regard j’aperçois mon autre collègue se branler alors je l’invite à se rapprocher. Je reprend une fellation histoire de bien le chauffer pendant que le jeunot me fais l’amour. 

    Le jeunot justement accélère le mouvement, je sens qu’il se crispe, je crois qu’il va jouir encore une fois. Oui il me confirme en me disant qu’il allait jouir, il me lance un regard questionneur. Je comprend ce qu’il veut dire et lui dis « ne te pose pas de question et prend ton pied. Jouis » ce qu’il fait immédiatement. Nous arrivons au bout des deux heure et nous entendons des gens s’approcher de la porte. 

    « Messieurs dames encore 30 minutes le technicien est en train de tout remettre en route »

    Utilisons ces trente dernières minutes intelligemment. Je me redresse pour me mettre à quatre pattes à côté du jeunot et lui nettoie la queue. En même temps j’invite mon deuxième baiseur à me baiser comme il le souhaite jusqu’à ce qu’il jouisse. Il ne se laissa pas prier et sans prendre de pincette m’enfourcha sur sa queue puis commença à le baiser violemment, comme j’aime aussi je l’avoue, pendant que je nettoie bien mon jeunot de ma langue. Au bout de 2 minutes mon autre collègue m’envoie toute la sauce au fond de ma chatte. Je me retourne pour le nettoyer. 

    Nous nous rhabillons rapidement et juste le temps de se réajuster que la porte s’ouvre. Nous voilà libérés. 

     

    Nous nous sommes depuis bien sûr recroiser mais sans jamais parler de cette aventures. Ce qui c’est passé ce jour là dans l’ascenseur y restera à jamais

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