• Pause repas

    Je suis au boulot, je cours pas mal depuis ce matin. La régulation nous donne la pause repas et me dis qu’étant donné qu’il y a peu de travail nous aurons 1h30 de pause.

    Je suis en pause pas loin de ma chérie et celle-ci a toujours eu envie de me rejoindre, alors ce jour est arrivé. Je lui indique où me retrouver.

            Ça frappe à la porte de la salle dans laquelle je m’étais réfugié. J’entrouvre et découvre ma chérie. Elle entre et je découvre qu’elle est habillé d’un décolleté très plongeant surmontant une belle jupe, belle mais très courte. Pas de collant mais de belles bottes montante. Elle est sexy et je ne suis pas indifférent à cette tenue. Nous nous enlaçons, nous embrassons, les mains se balladent le long de nos corps.

                Mes mains descendent le long de ses hanches, je soulève sa jupe et je découvre qu’elle n’a pas mis de culotte. Cette découverte m’étonne et m’excite au plus au point. J’en peux plus j’ai trop envie d’elle.

    Je la retourne contre le mur, j’approche mon visage au niveau de son fessier, elle cambre son corps pour que j’accède facilement à sa croupe. Cette dernière est déjà toute humide, c’est un vrai délice. Ma langue lèche et s’insère entre ses lèvres c’est un délice, je l’entend retenir quelques petits cris qui me laisse supposer qu’elle adore ça. Je continue donc mon petit travail intime. J’écarte ses deux belles fesses pour entreprendre de lui faire une feuille de rose. En même temps mes doigts on fait le tour de ses hanches pour ne pas laisser ton minou seul. Je me délecte de sa petite rondelle, je redescend de temps en temps jusqu’à son entrée principale qui est déjà travaillée par mes doigts. Je ne m’y attendais pas mais son corps se raidi et d’un coup un flot de liquide chaud coule sur ma langue. Je comprend que ma chérie vient de jouir. J’avale ce jus et tout en me délectant de cette cyprine je me relève pour la prendre.

               Ma chérie me stop net et me dis qu’il n’y ai pas de raison que seulement moi est eu le droit de jouer avec ses intimités. Elle me plaque à son tour contre le mur, baisse mon talon et mon boxer tout en approchant son visage de ma verge déjà extrêmement dure. Je la voix ouvrir sa bouche, sortir sa langue et commencer par la faire parcourir le long de ma queue dure comme du béton. C’est tellement agréable quand elle fait cela. Elle la lèche de haut en bas puis de bas en haut. Elle va jusqu’à mes bourses qu’elle aime à aspirer. Elle remonte à nouveau le long de ma verge avec sa langue pour cette fois-ci jouer avec mon gland. Elle joue avec un moment puis enfin prend ma bite en bouche pour cette fois-ci le faire une fellation comme seul elle a le secret. 

               Elle alterne la vitesse, elle va vite et fort puis plus lentement avec tendresse mais toujours en me fixant des yeux. Ces yeux semblent m’inviter à lui donner ma jouissance. Dois-je le faire, dois-je me retenir. 

    Je ne peux pas, je ne peux plus, je jouis dans sa bouche. Elle me regarde toujours, surprise mais elle ne dit rien et savoure. 

    Maintenant que fait-on j’ai toujours envie elle et il semble qu’elle aussi. Elle me chuchote à l’oreille un prend moi qui je laisse plus aucuns doutes et qui a pour effet de me remettre au garde à vous.

                D’elle même elle prend appuie contre le mur, se cambre pour m’inviter à entrer en elle. Bien sûr je ne me fais pas prier et je la surprend en la prénétrant d’un coup sec. Et maintenant je la prend sauvagement, fermement. Elle m’invite à l’attraper par les cheveux, je le fais et redouble d’intensité ma pénétration. Elle retient ces cris pour ne pas qu’on nous surprenne. Elle me dit qu’elle a envie de jouir. Je lui dis de tout lâcher et le fais immédiatement. Moi je n’ai pas encore réjoui. 

    Avant de jouir je veux m’occuper de toutes ces portes d’entrées.

              Je vais m’assoir sur le fauteuil qui se trouve que dans un coin de la pièce et lui demande de venir s’assoir sur moi. Je vois à son regard qu’elle va le faire avec un plaisir immense. Elle vient donc, s’assoit sur moi et commence de longs et sensuels vas et viens sur moi. 

                Ses fesses claques à chaque voyages sur mes cuisses, mes mains caressent ses seins, puis descendent le long de son ventre pour atteindre son clitoris et se mettent à le titiller. Ces vas et viens et la masturbation que j’effectue avec mes doigts ont raison d’elle et l’emmènent dans une nouvelle jouissance. Mais voilà je n’ai toujours pas joui moi.

                 Cette fois-ci je l’invite à s’installer sur le fauteuil dos à moi, je l’attrape par les hanches et présente ma queue à l’entrée de sa rondelle. J’ai envie de la sodomiser et il semblerait qu’elle aussi car elle commence à faire entrer la verge en elle. 

               Me voilà au fond de son cul. Elle tourne la tête je l’embrasse, elle me regarde et me dit « maintenant donne tout ce que tu as et déboîte moi bogoss, je veux te sentir jouir dans mon cul »

    Ces paroles ont un effets de fou sur moi. Alors j’obéis et commence à travailler son corps comme elle me l’a demander. Je la sodomise dans une fermeté qui me surprend moi même, elle étouffe ces cris dans le dossier du fauteuil. Je l’attrape par les cheveux et la sodomise le plus profondément possible. 

               Avec tout ça j’en ai oublier l’heure. Il va falloir que je retourne au travail. 

     

    J’accélère donc la cadence jusqu’à sentir ma sauce arrivée. Je continue, elle n’en peut plus je l’entend hurler de plaisir dans le coussin. Et voilà que j’explose en elle. C’est vraiment trop bon. Je me retire, je vais l’embrasser. J’ai pas envie de la quitter mais il faut vraiment que je retourner au boulot. Elle me regarde et me dis d’y aller vite pour ne pas être en retard pour la reprise. Je me réajuste et m’en vais, non s’en l’embrasser une dernière fois et lui dire à ce soir.

  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires de cet article


    Vous devez être connecté pour commenter