• Une écriture animées

           Je suis devant mon ordinateur pour écrire une histoire, ma femme est sur le canapé devant la tv.

            Je suis inspiré donc ça avance rapidement. Cette séance d’écriture me rend d’humeur coquine. 

    J’envoie donc au fur et à mesure de mon avancement l’histoire à ma femme, je sais que ça ne la laissera pas indifférente et je vais rapidement découvrir cela.

                  En effet la voilà qui passe la porte du bureau en simple nuisette. Elle a mis celle que j’adore, la nuisette en soie transparente rouge et noir. D’ailleurs grâce à cette transparence j’aperçois qu’elle ne porte ni soutiens gorge ni culotte. Elle s’approche doucement de moi sans rien dire et quand elle est assez proche de moi je découvre aussi que ces tétons son déjà tout dur et pointe dans ma direction. 

    Elle s’arrête à ma hauteur et me dit « alors monsieur écrit une histoire sans me le dire, me laissant seul sur le canapé. Ce n’est pas gentil ça »

    Je n’ai pas le temps de répondre qu’elle s’assoit sur moi et tout en me regardant dans mes yeux me dit « tu va le payer » et m’ordonne de lui manger ses merveilleux seins. Je comprend à partir de ce moment là que ça va être ma fête. 

    Je m’attaque donc à cette noble tâche que ma merveilleuse femme m’ordonne de faire. Je soulève donc sa belle nuisette jusqu’à lui enlever complètement. Elle se retrouve donc nue sur moi, et je lui mange donc ces seins. Commençant pas sucer le droit, je le suce tout en le mordillant légèrement. Puis avec ma langue je joue avec, la faisant tournoyer autour. Bon le droit est bien dur et bien humide passons au gauche.

    Pour celui-ci je vais commencer par jouer avec ma langue en tournoyant autour, léchant le bout du tétons puis son auréole. J’ai trop envie de le téter alors je le fait et la ma femme crie. Je ne reviens pas elle viens de jouir sur mes cuisses seulement en m’occupant de ces seins. Ma robe de chambre en porte les stigmates. Je m’arrête.

    Elle me regarde fixement dans les yeux, glisse ses mains sous ma robes de chambre, l’enlève. Nous sommes maintenant nu tout les deux, elle toujours assise sur moi. Ma queue est toute dure, dressée entre nous.

    Ses mains parcourt mon corps jusqu’à arrivé sur cette queue bien dressée. Elle m’embrasse je répond à son baisé. Elle se laisse glisser en arrière jusqu’à se retrouver à genoux entre mes cuisses.

                Une fois bien installé elle se lance dans une pipe divine, jouant avec mon gland, le gobant, je dirais même le dévorant tellement elle y met du coeur à l’ouvrage. Je vais jouir et elle me comprend vite. Elle s’arrête et me demande de jouir sur ses seins et non dans sa bouche. Je lui dis que je la préviens dès que je le sens venir. 

    Elle reprend cette fellation que j’aime tant, je lui dis que je viens. Elle pointe ma queue au niveau de ses seins, me branle et me voici jouir  sur ces merveilleux seins. Elle se redresse. S’assoit sur moi.

          Maintenant qu’elle est assise sur moi elle m’ordonne de la nettoyer avec ma langue. J’obéis car je ne peux pas résister à ses demandes. Je lèche donc ma jouissance. Madame est donc toute nettoyé mais maintenant que m’attend t-il? Je vais le savoir rapidement. 

               Elle pousse les quelques affaires qui se trouvent sur mon bureau et s’y allonge. Elle écarte les cuisses de sorte que je voie bien son minou déjà tout brillant de cyprine. Je m’approche donc pour la pénétrer car l’envie se fait très forte. Mais non elle m’arrête net dans mon approche. « Non non pas encore mon chéri, agenouille toi et mange ce bouton tout humide que tu aime tant » me dit-elle.

    Une fois de plus je m’exécute, je m’agenouille donc et commence un cuni donc je savoir le goût et l’humidité. Je commence par sucer son clito qui est déjà bien gonflé, elle se tortille dans tout les sens j’en déduis qu’elle est en train de prendre son pied. Je continue donc de plus belle. J’alterne entre son clitoris et l’entrée de sa vulve d’où se déverse un flot de jouissance. Quand je suis à l’entrée de son minou j’en profite pour me délecter de toute cette cyprine que madame laisse couler pour mon plus grand bonheur. 

    Je sens son corps se raidir, ma femme agripper les bords du bureau avec ses mains. Oui elle s’approche de la jouissance. Et à voir sa réaction je pense qu’elle va être puissante. 

    Et je confirme au bout de 2 minutes elle lâche un cris qui ne laisse aucuns doute quand à son état d’excitation. Son cri est accompagné d’un flot de mouille que, pour ma part, je me fais une joie d’avaler et déguster. 

    Après avoir réceptionner tout ce que son merveilleux corps à bien voulu me donner de sa substance je me redresse et m’approche d’elle pour l’embrasser une nouvelle fois. Elle se remet de ces émotions. Elle est toute essoufflée.

    Que dois-je faire? Me demandais-je à ce moment là. J’avais très envie de l’enfiler sur mon bureau mais me l’autoriserai t-elle? Étais-ce dans ces projets?

    Elle se redresse donc sur mon bureau, s’assoit laissant les jambes pendantes. M’attrape par le bras et m’embrasse tendrement mais aussi fougueusement. Tout en m’embrassant elle m’attrape par les hanche pour m’attirer vers elle. 

    Ma queue bien dure, elle, s’approche de son intimité et y rentre sans résistance. Elle me sussure à l’oreille de lui faire l’amour maintenant. Je commence donc à lui faire l’amour sur mon bureau.

               Pour être plus à l’aise elle se recouche sur le bureau, met ses jambes sur mes épaules et me demande de la pénétrer le plus profondément possible, ce qui dans cette position et très facile à faire. Je lui met donc des coups de bassins en insistant bien sur la profondeur de mes pénétrations. Elle adore ça, laisse des cris de plaisir sortir de sa bouche. 

    Voir ma femme prendre un pied d’enfer sous mes coups de reins me rend fou. Elle joui, moi je joui également en même temps qu’elle. Nous jouissons à l’unissons. 

     

    Elle n’en peu plus, elle se redresse. Me pousse sur mon fauteuil. Elle vient s’assoir sur moi et nous nous faisons un câlins pleins d’amour accompagné de baisés remplis d’amour. Ce câlins dura des heures.

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