• Une merveilleuse rencontre

    Je me prénomme Pierre, je suis célibataire depuis quelques mois. Aujourd’hui nos sommes samedi et depuis mardi je discute avec une femme qui se prénomme Marie. C’est elle qui m’a envoyé un message la première car une collègue lui a montré des photos de moi. 

    Elle a donc entamé la discussion et tout de suite ça a collé. Nos famille sont originaire du même village donc nous avons discuter de ce village, du passé de ce village, de nos familles. Petit à petit nous sommes arrivé à parler de nous.

           Elle est plus âgé que moi de quelques années mais cela n’a pas l’air de lui poser problème. Nos discussions me plaisent énormément, nous parlons de tout. Aussi bien de notre enfance que de sexe en passant par la musique, nos loisirs, passions et j’en passe. Nous avons tout les deux des enfants ce qui créée un certains liens. Quand je parle avec elle j’ai des papillons dans le ventre. La première chose que je fait en me levant c’est de lui envoyer un petit bonjour par message et ensuite j’attends avec impatience sa réponse. C’est bizarre car nous ne nous sommes jamais rencontré encore. Celle-ci est prévu pour mercredi. 

    Bien entendu nous avons échangé des photos et je dois avouer qu’elle me plait beaucoup, elle m’a dis que je lui plaisait également maintenant j’espère que je lui plairais toujours quand elle me verra. 

           Mon impatience de la rencontrer augmente de jours en jours depuis mercredi. je suis de nature impatient et je préfère voir les gens réellement que des discussions virtuelles sans fins. Nous en discutons cela va de sois, elle m’avoue qu’elle stress un peu, elle appréhende de ne pas me plaire. Elle a peur que la rencontre ne créer rien entre nous. Moi aussi j’ai un certain stresse, j’ai peur de ne pas lui plaire, de faire quelque chose qui lui déplaise beaucoup au point d’écourter la soirée mais il ne faut pas y penser et rester positif.

            La semaine avance, nous passons le week-end à s’écrire, nous nous appelons le soir. Nous continuons à discuter de nos journée et pleins de choses. Lundi passe, mardi passe, mercredi est la. 

             Nous sommes mercredi soir, je fini le travail à 18h. Marie sera la vers 21h. Je range l’appartement, fais un brin de ménage, mon stresse monte. Je vais me doucher, l’eau chaude me détendra certainement un petit peu. 20h, elle arrive d’ici une heure environs, comment dois-je m’habiller?

    Oula l’heure avance 20H30, j’ai trouvé comment m’habiller, jean’s chemise. Je suis parfumé, je suis rasé, je crois que je suis prêt à l’accueillir. 21h ça sonne, j’ouvre la porte et la découvre. En fait nous nous découvrons mutuellement. Quelle agréable surprise, une vague de chaleur m’envahi, je bloque. Elle est hésitante, je m’excuse d’avoir buggé et l’invite à entrer. je lui prend son manteau et l’invite à se mettre à l’aise.

               Voilà nous y sommes, elle est chez moi, nous sommes l’un à côté de l’autre. Je lui propose à boire, ce qu’elle accepte. Wiskhy Coca pour elle, Vodka oasis pour moi, le tout accompagné de gâteau apéro. L’un et l’autre sommes hésitant, timide, nous n’arrivons pas à parler mais il va bien falloir que nous nous disions quelque chose. Des vagues de chaleur m’envahissent, mes mains sont moites, les mots ne veulent pas sortir. J’ai l’impression d’avoir quinze ans. Mon estomac est noué. C’est décidé je me lance et lui demande si elle va bien, elle me répond que oui. Voilà je me sens plus détendu, je la sens plus détendu, la glace est brisée. Nous entamons des discussions, comme par messages nous discutons de tout et rien, nous faisons plus ample connaissance. Elle me plait énormément.

              Mon estomac se dénoue, mes mains sont moins moites. Je me sens plus détendu mais une question me taraude, est-ce que je lui plais? 

    Voilà une heure que nous discutons, rigolons, je me rapproche un peu d’elle, elle ne recule pas ce qui a pour effet de déclencher une vague de chaleur fulgurante en moi . J’ai envie de la prendre dans mes bras, l’enlacer, l’embrasser, la couvrir de bisous.  Dois-je laisser ma main se passer sur la sienne, dois-je lui poser le bras sur épaule, dois-je laisser ma mains caresser son dos. Autant de questions qui me traversent l’esprit mais je n’ai pas le temps de réfléchir plus longtemps.

              Alors que j’étais en train de lui parler de mon passer elle s’avança vers moi et m’embrassa. Au début surpris je reste bloqué, elle s’arrête dans un mouvement de recul puis s’excuse. Je reprend vite mes esprits pour lui dire qu’elle n’a pas à s’excuser et je l’embrasse de plus belle. Ce baisé dura un temps infini, j’ai attendu ce moment depuis que je lui ai ouvert la porte. Nous nous embrassons donc, mes mains caressent son visage dont la peau est extrêmement douce et agréable à caresser.

    Ce moment semble ne jamais se finir, je n’ai pas envie qu’il se termine mais nous faisons une pause et je profite de ce moment pour lui avouer en avoir eu envie depuis qu’elle c’est présenter devant ma porte. D’un coup tout mon stresse à disparu, mon estomac c’est dénoué en un éclair mais les vagues de chaleur sont toujours là. 

               Nous faisons une pause dans ces longs baisés pour boire, grignoter et discuter un peu mais l’envie ne tarda pas à revenir et nous nous retrouvons aussitôt à nous embrasser l’in des les bras de autre. Cette fois-ci je sens ces mains se glisser sous mon t-shirt. Marie caresse mon dos puis mon torse et cela me rend encore plus chaud. Je bouillonne en moi, je commence à être dans un état de plaisir intense. J’en fais de même et mes mains parcourt son dos puis j’enlace son visage. Je fais descendre mes mains le long de son cou, puis elle parcourt sa poitrine par dessus son t-shirt, je continue de les faire descendre je m’arrête en bas du t-shirt pour le remonter et finalement lui ôter. Je suis subjuguer par cette vision.

     Son t-shirt cachait une poitrine merveilleusement belle recouverte d’un soutien-gorge noir et rouge comme je les aime. Je lui enlève ce dernier et cette superbe poitrine se dévoile à moi, je la couvre de bisous, je l’embrasse à pleine bouche. elle fait voler mon t-shirt à travers la pièce puis nous nous allongeons, moi sur elle. Je la couvre de baisés, de bisous. Je couvre de bisous son visage, ses mains sur mon corps me font frissonner, je sens qu’elle frissonne également sous mes bisous et caresses. Je descend le long de son corps après avoir couvert de bisous cette si belle poitrine, j’arrive au niveau de sa ceinture. Je commence à la défaire, puis j’enlève le premier bouton de son jean’s, elle ne dit rien alors je continue jusqu’a ce que son pantalon soit complètement ouvert. Marie m’aide à lui enlever et son jean’s découvre une culotte en tissu rouge et noir qui je pense doit aller de paire avec le soutient-gorge. Je pose mes mains sur ces cuisses et les caresses de haut en bas puis de bas en haut, je les fais glisser à l’intérieur et remonte jusqu’à la frontière de son intimité, je sens qu’elle à chaud et je sensé vois également que sa culotte est humide. Je lui ôte pour ne pas faire durer ce que j’imagine être un calvaire pour elle.

     Je ne fais pas durer l’hésitation plus longtemps et me lance, je pose ma bouche sur son sexe. Elle ne dit rien, elle ne bouge pas donc je joins ma langue à mes lèvres. Elle se tortille, elle gémit, son minou coule de plaisir et moi je le savoure. Marie est délicieusement belle mais aussi délicieuse, cette femme me fait fondre. Je suis extrêmement dur, je transpire tellement elle me donne chaud. Je suis obnubilé par son corps, par ses cris, j’ai envie de la dévorer et je le fais déjà en parti. J’ai envie de l’étreindre tellement fort. Je continu mon cuni, j’accélère les mouvements sentant qu’elle se tortille de plus en plus, entendant qu’elle laisse sortie des cris de plus en plus fort. Mes coups de langues sont appuyés et rapides et Marie ne tarde pas à jouir pour la première fois avec moi. Je profite de ce moment et de ce qu’elle me donne, une fois bien savourer je remonte à non niveau non sans laisser au passage au pied du canapé mon pantalon laissant apparaitre sans équivoque sous mon boxer une bosse. 

    Je l’embrasse, nous nous embrassons tout en nous caressant, elle m’avoue être gêné. Je lui demande de pourquoi est-elle gênée et elle me dit à cause de ses cris, je l’arrête de suite pour lui expliquer que je préfère les femmes qui extériorisent leur plaisirs que celles qui ne disent rien. Sans rien dire de plus elle se jette sur moi en m’embrassant et en me faisant basculer sur le dos. 

     Je crois qu’elle a décider de prendre le dessus, c’est elle cette fois-ci qui me couvre de bisous, qui fait parcourir mon corps de ses mains. Je frisonne de plaisir, je me tortille, je transpire tellement j’ai chaud, mes mains sont moites. Elle descend le long de mon torse avec sa langue puis elle parcourt mon ventre pour arriver au niveau de mon boxer, elle ne perd pas de temps et l’enlève illico découvrant mon sexe bien droit. je bande depuis le début, depuis que je lui ai ouvert le portail et qu’elle est descendu de sa voiture. Encore plus depuis que je l’ai littéralement découverte. Elle semble un peu surprise mais ravi aussi au vue du sourire qu’elle m’a lancé. 

    Elle commence d’abord pas bisouter mon pubis, elle tourne autour de mon intimité, ses mains jouent un peu avec et finalement elle l’embrasse goulument. Elle prend ma verge en bouche et fais des va et viens énergiques puis plus doux, je crois qu’elle a trouvé mon point sensible. A ces lèvres elle joint ses mains, l’ensemble me procurent une fellation divine, tellement divine que je suis au bord de l’explosion et je pense qu’à mon attitude elle l’a compris également. Elle s’arrêta donc pour revenir à mon niveau puis elle s’allongea à mes coté et m’invita sur elle. Elle m’avoue à ce moment la qu’elle souhaite que je lui fasse l’amour, je m’exécute donc avec plaisir. 

     Doucement je la pénètre, je vais jusqu’au maximum puis j’entame des allers retours en elle, je la couvre de bisous car je souhaite que cette première fois ensemble soit notre premier souvenir intime. Je continue à la pénétré et je sens bien que son plaisir monte, j’embrasse ses merveilleux seins dont les tétons sont dures comme pas possible. Je joues avec eux, je fais tourner ma langue autour, Marie se tortille, Marie se raidi. Elle gémis de plus en plus fort, elle cris qu’elle va jouir. Pour ma part je me retiens depuis maintenant un moment déjà donc je lui dis que moi aussi et alors que nous nous embrassions nous avons jouis ensemble. Nous nous sommes embrassé encore plus fort à ce moment la, puis je me suis laissé tomber sur elle et je l’ai serrer si fort contre moi qu’elle ne devait avoir du mal à respirer. 

     

     C’était notre premier câlin, la première fois que nous découvrions nos corps et cette découverte fût merveilleuse. Nous n’arrêtions pas de nous embrasser, de nous caresser, nous ne nous quittions plus des bras de l’un de l’autre. Nous n’avions simplement plus envie de nous quitter.

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