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         Je me prénomme Pierre, je suis célibataire depuis quelques mois. Aujourd’hui nos sommes samedi et depuis mardi je discute avec une femme qui se prénomme Marie. C’est elle qui m’a envoyé un message la première car une collègue lui a montré des photos de moi. 

    Elle a donc entamé la discussion et tout de suite ça a collé. Nos famille sont originaire du même village donc nous avons discuter de ce village, du passé de ce village, de nos familles. Petit à petit nous sommes arrivé à parler de nous.

           Elle est plus âgé que moi de quelques années mais cela n’a pas l’air de lui poser problème. Nos discussions me plaisent énormément, nous parlons de tout. Aussi bien de notre enfance que de sexe en passant par la musique, nos loisirs, passions et j’en passe. Nous avons tout les deux des enfants ce qui créée un certains liens. Quand je parle avec elle j’ai des papillons dans le ventre. La première chose que je fait en me levant c’est de lui envoyer un petit bonjour par message et ensuite j’attends avec impatience sa réponse. C’est bizarre car nous ne nous sommes jamais rencontré encore. Celle-ci est prévu pour mercredi. 

    Bien entendu nous avons échangé des photos et je dois avouer qu’elle me plait beaucoup, elle m’a dis que je lui plaisait également maintenant j’espère que je lui plairais toujours quand elle me verra. 

           Mon impatience de la rencontrer augmente de jours en jours depuis mercredi. je suis de nature impatient et je préfère voir les gens réellement que des discussions virtuelles sans fins. Nous en discutons cela va de sois, elle m’avoue qu’elle stress un peu, elle appréhende de ne pas me plaire. Elle a peur que la rencontre ne créer rien entre nous. Moi aussi j’ai un certain stresse, j’ai peur de ne pas lui plaire, de faire quelque chose qui lui déplaise beaucoup au point d’écourter la soirée mais il ne faut pas y penser et rester positif.

            La semaine avance, nous passons le week-end à s’écrire, nous nous appelons le soir. Nous continuons à discuter de nos journée et pleins de choses. Lundi passe, mardi passe, mercredi est la. 

             Nous sommes mercredi soir, je fini le travail à 18h. Marie sera la vers 21h. Je range l’appartement, fais un brin de ménage, mon stresse monte. Je vais me doucher, l’eau chaude me détendra certainement un petit peu. 20h, elle arrive d’ici une heure environs, comment dois-je m’habiller?

    Oula l’heure avance 20H30, j’ai trouvé comment m’habiller, jean’s chemise. Je suis parfumé, je suis rasé, je crois que je suis prêt à l’accueillir. 21h ça sonne, j’ouvre la porte et la découvre. En fait nous nous découvrons mutuellement. Quelle agréable surprise, une vague de chaleur m’envahi, je bloque. Elle est hésitante, je m’excuse d’avoir buggé et l’invite à entrer. je lui prend son manteau et l’invite à se mettre à l’aise.

               Voilà nous y sommes, elle est chez moi, nous sommes l’un à côté de l’autre. Je lui propose à boire, ce qu’elle accepte. Wiskhy Coca pour elle, Vodka oasis pour moi, le tout accompagné de gâteau apéro. L’un et l’autre sommes hésitant, timide, nous n’arrivons pas à parler mais il va bien falloir que nous nous disions quelque chose. Des vagues de chaleur m’envahissent, mes mains sont moites, les mots ne veulent pas sortir. J’ai l’impression d’avoir quinze ans. Mon estomac est noué. C’est décidé je me lance et lui demande si elle va bien, elle me répond que oui. Voilà je me sens plus détendu, je la sens plus détendu, la glace est brisée. Nous entamons des discussions, comme par messages nous discutons de tout et rien, nous faisons plus ample connaissance. Elle me plait énormément.

              Mon estomac se dénoue, mes mains sont moins moites. Je me sens plus détendu mais une question me taraude, est-ce que je lui plais? 

    Voilà une heure que nous discutons, rigolons, je me rapproche un peu d’elle, elle ne recule pas ce qui a pour effet de déclencher une vague de chaleur fulgurante en moi . J’ai envie de la prendre dans mes bras, l’enlacer, l’embrasser, la couvrir de bisous.  Dois-je laisser ma main se passer sur la sienne, dois-je lui poser le bras sur épaule, dois-je laisser ma mains caresser son dos. Autant de questions qui me traversent l’esprit mais je n’ai pas le temps de réfléchir plus longtemps.

              Alors que j’étais en train de lui parler de mon passer elle s’avança vers moi et m’embrassa. Au début surpris je reste bloqué, elle s’arrête dans un mouvement de recul puis s’excuse. Je reprend vite mes esprits pour lui dire qu’elle n’a pas à s’excuser et je l’embrasse de plus belle. Ce baisé dura un temps infini, j’ai attendu ce moment depuis que je lui ai ouvert la porte. Nous nous embrassons donc, mes mains caressent son visage dont la peau est extrêmement douce et agréable à caresser.

    Ce moment semble ne jamais se finir, je n’ai pas envie qu’il se termine mais nous faisons une pause et je profite de ce moment pour lui avouer en avoir eu envie depuis qu’elle c’est présenter devant ma porte. D’un coup tout mon stresse à disparu, mon estomac c’est dénoué en un éclair mais les vagues de chaleur sont toujours là. 

               Nous faisons une pause dans ces longs baisés pour boire, grignoter et discuter un peu mais l’envie ne tarda pas à revenir et nous nous retrouvons aussitôt à nous embrasser l’in des les bras de autre. Cette fois-ci je sens ces mains se glisser sous mon t-shirt. Marie caresse mon dos puis mon torse et cela me rend encore plus chaud. Je bouillonne en moi, je commence à être dans un état de plaisir intense. J’en fais de même et mes mains parcourt son dos puis j’enlace son visage. Je fais descendre mes mains le long de son cou, puis elle parcourt sa poitrine par dessus son t-shirt, je continue de les faire descendre je m’arrête en bas du t-shirt pour le remonter et finalement lui ôter. Je suis subjuguer par cette vision.

     Son t-shirt cachait une poitrine merveilleusement belle recouverte d’un soutien-gorge noir et rouge comme je les aime. Je lui enlève ce dernier et cette superbe poitrine se dévoile à moi, je la couvre de bisous, je l’embrasse à pleine bouche. elle fait voler mon t-shirt à travers la pièce puis nous nous allongeons, moi sur elle. Je la couvre de baisés, de bisous. Je couvre de bisous son visage, ses mains sur mon corps me font frissonner, je sens qu’elle frissonne également sous mes bisous et caresses. Je descend le long de son corps après avoir couvert de bisous cette si belle poitrine, j’arrive au niveau de sa ceinture. Je commence à la défaire, puis j’enlève le premier bouton de son jean’s, elle ne dit rien alors je continue jusqu’a ce que son pantalon soit complètement ouvert. Marie m’aide à lui enlever et son jean’s découvre une culotte en tissu rouge et noir qui je pense doit aller de paire avec le soutient-gorge. Je pose mes mains sur ces cuisses et les caresses de haut en bas puis de bas en haut, je les fais glisser à l’intérieur et remonte jusqu’à la frontière de son intimité, je sens qu’elle à chaud et je sensé vois également que sa culotte est humide. Je lui ôte pour ne pas faire durer ce que j’imagine être un calvaire pour elle.

     Je ne fais pas durer l’hésitation plus longtemps et me lance, je pose ma bouche sur son sexe. Elle ne dit rien, elle ne bouge pas donc je joins ma langue à mes lèvres. Elle se tortille, elle gémit, son minou coule de plaisir et moi je le savoure. Marie est délicieusement belle mais aussi délicieuse, cette femme me fait fondre. Je suis extrêmement dur, je transpire tellement elle me donne chaud. Je suis obnubilé par son corps, par ses cris, j’ai envie de la dévorer et je le fais déjà en parti. J’ai envie de l’étreindre tellement fort. Je continu mon cuni, j’accélère les mouvements sentant qu’elle se tortille de plus en plus, entendant qu’elle laisse sortie des cris de plus en plus fort. Mes coups de langues sont appuyés et rapides et Marie ne tarde pas à jouir pour la première fois avec moi. Je profite de ce moment et de ce qu’elle me donne, une fois bien savourer je remonte à non niveau non sans laisser au passage au pied du canapé mon pantalon laissant apparaitre sans équivoque sous mon boxer une bosse. 

    Je l’embrasse, nous nous embrassons tout en nous caressant, elle m’avoue être gêné. Je lui demande de pourquoi est-elle gênée et elle me dit à cause de ses cris, je l’arrête de suite pour lui expliquer que je préfère les femmes qui extériorisent leur plaisirs que celles qui ne disent rien. Sans rien dire de plus elle se jette sur moi en m’embrassant et en me faisant basculer sur le dos. 

     Je crois qu’elle a décider de prendre le dessus, c’est elle cette fois-ci qui me couvre de bisous, qui fait parcourir mon corps de ses mains. Je frisonne de plaisir, je me tortille, je transpire tellement j’ai chaud, mes mains sont moites. Elle descend le long de mon torse avec sa langue puis elle parcourt mon ventre pour arriver au niveau de mon boxer, elle ne perd pas de temps et l’enlève illico découvrant mon sexe bien droit. je bande depuis le début, depuis que je lui ai ouvert le portail et qu’elle est descendu de sa voiture. Encore plus depuis que je l’ai littéralement découverte. Elle semble un peu surprise mais ravi aussi au vue du sourire qu’elle m’a lancé. 

    Elle commence d’abord pas bisouter mon pubis, elle tourne autour de mon intimité, ses mains jouent un peu avec et finalement elle l’embrasse goulument. Elle prend ma verge en bouche et fais des va et viens énergiques puis plus doux, je crois qu’elle a trouvé mon point sensible. A ces lèvres elle joint ses mains, l’ensemble me procurent une fellation divine, tellement divine que je suis au bord de l’explosion et je pense qu’à mon attitude elle l’a compris également. Elle s’arrêta donc pour revenir à mon niveau puis elle s’allongea à mes coté et m’invita sur elle. Elle m’avoue à ce moment la qu’elle souhaite que je lui fasse l’amour, je m’exécute donc avec plaisir. 

     Doucement je la pénètre, je vais jusqu’au maximum puis j’entame des allers retours en elle, je la couvre de bisous car je souhaite que cette première fois ensemble soit notre premier souvenir intime. Je continue à la pénétré et je sens bien que son plaisir monte, j’embrasse ses merveilleux seins dont les tétons sont dures comme pas possible. Je joues avec eux, je fais tourner ma langue autour, Marie se tortille, Marie se raidi. Elle gémis de plus en plus fort, elle cris qu’elle va jouir. Pour ma part je me retiens depuis maintenant un moment déjà donc je lui dis que moi aussi et alors que nous nous embrassions nous avons jouis ensemble. Nous nous sommes embrassé encore plus fort à ce moment la, puis je me suis laissé tomber sur elle et je l’ai serrer si fort contre moi qu’elle ne devait avoir du mal à respirer. 

     

     C’était notre premier câlin, la première fois que nous découvrions nos corps et cette découverte fût merveilleuse. Nous n’arrêtions pas de nous embrasser, de nous caresser, nous ne nous quittions plus des bras de l’un de l’autre. Nous n’avions simplement plus envie de nous quitter

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  • Ce soir c’est soirée cinéma avec ma chérie. Nous hésitons sur le film mais nous y allons quand même et nous choisirons en arrivant.

    Place les achetées nous voilà installé dans la salle. Ce cinéma a tout prévu pour les couples en installant des canapé 2 places, canapé que nous choisissons. Le film commence. Le synopsis donnait vraiment envie. Ma femme pose sa tête sur mon épaule, nous sommes enlacé l’un contre l’autre, une soirée cinéma en amoureux idéale.

             Je n’arrive pas à entrer dans le film, mes mains commencent à caresser ma femme. Je parcours son visage, puis mes mains parcourent son corps. Elle ne dit rien, se laisse faire. 

             La salle est quasiment vide, un couple se trouve dans la rangée du milieux, un autre sur le côté gauche mais toujours devant nous. Personnes ne peux nous voir. J’ai toujours eu un fantasme, faire l’amour dans un cinéma. Le risque d’être vu, l’interdit, m’excite. Je pense que ma femme a compris que le film ne me plaisait pas plus que ça.

              Une de mes mains glisse sous sa jupe, entre ses cuisse. Quelle ne fut pas ma surprise en découvrant qu’elle n’avait pas mis de culotte. Elle me lance un sourire en disant long sur son état d’esprit. Un de mes doigts écarte ses petites lèvres, elles sont déjà humide, ma femme mouille déjà. 

    Mon doigts entre sans résistance dans le minou de ma femme, il y entre comme aspiré. Je lui fais faire quelques allers retours à l’intérieur puis remonte jusqu’à son clitoris, mon regarde scrute le visage de ma bien aimé et je vois que ses yeux se sont fermés, j’en déduis qu’elle aime ce qu’il se passe. 

     Mon doigts sur son clitoris je joue avec ce dernier, il est déjà bien gonflé. Je le taquine, ma femme commence à se tortiller. Ses cuisses se ressert, signe qu’elle approche de la jouissance. Elle est toujours tourné légèrement dos à moi tête sur mon épaule. Je la sens de plus en plus appuyée contre moi, son corps se raidir. Ses cuisses se serrent, elles se contractent puis d’un coup tout son corps se relâche. Ma femme vient de jouir au cinéma. 

                  Elle se redresse, se retrouvant assise dans ce canapé 2 places. Je me fais glisser au sol, m’installe à genoux entre ses cuisses. Je les lui écarte puis approche ma bouche de son vagin dégoulinant de plaisir. J’ouvre la bouche, sort la langue et lape son jus que je viens de faire sortir avec mes doigts. Il est chaud, huileux mais tellement bon. Elle se laisse faire, profite, retiens ses gémissement. Et oui nous sommes toujours au cinéma.

                 Je suis installé entre ses cuisses je ne vais donc pas me contenter du juste la lécher, je vais profiter de ma position pour lui faire un cuni. Une fois avoir aspirer tout son jus je me met au travail en lui procurant ce cuni qu’elle aime tant pour la faire jouir à nouveau. Je commence à lécher l’entrée de son intimité, de la s’écoule encore de son excellente cyprine. Puis je remonte ma langue jusqu’à son clitoris. La je m’y attarde, je joue avec, je le fais rouler sur ma langue. Je le prend en bouche pour l’aspirer. Tout en étant dans ma bouche pour l’aspirer je lui donne des coups de langue. Ma femme a basculer sa tête en arrière, je la connais très bien et je sais que c’est le signe qu’elle ne va pas tarder à jouir à nouveau. Ses cuisses se resserrent un peu, je les tiens écartés. Son corps se raidi. Je continue à jouer avec son bouton d’or. Il grossi, il durci. Ma langue glisse entre sens petites lèvres à présent. Du jus s’en écoule, elle commence à jouir. Je ne m’arrête pas car je veux la voir jouir vraiment. 

    À présent ma langue est à l’intérieur de son vagin, elle y fait des vas et viens. Ma lèvre supérieur frotte son clitoris. Le fait d’être titiller des deux côtés l’emmène instantanément à la jouissance. Je sens celle-ci arriver sur ma langue qui est toujours à l’entrée de son minou. Comme tout à l’heure je savoure ce moment et ce jus.

                  Je me réinstalle sur le fauteuil à côté d’elle, elle s’approche pour m’embrasser et me susurre à l’oreille un tendre merci. Cependant le film est loin de très fini et nous en avions raté un bon morceau donc duc de se remettre dedans. Ma femme se blotti donc contre moi et nous nous offrons un câlin très tendre. Pendant que je profitais de cet instant les yeux fermé je senti une main se glisser sous mon t-shirt. C’était la main de ma femme je la reconnaîtrais entre mille. Elle est blotti contre moi, sa bouche embrassant mon cou, une de ses mains caressant mon torse. Puis elle descend sur mon ventre. 

                   Elle laisse sa main passer sur mon pantalon, elle s’attarde sur mon entre jambe qu’elle doit sentir très dur. En effets le fait de m’occuper d’elle ne m’a pas laissé de marbre. 

    Sa main remonte au niveau de ma ceinture, je la sens qui défait celle-ci. Elle défait maintenant le premier bouton de mon pantalon, puis le deuxième et ainsi de suite jusqu’à avoir totalement ouvert mon pantalon. Nos regards se croisent, elle se rapproche de moi et me dit à l’oreille « À moi de m’occuper de toi mon amour » ces mots ont eu un effet atomique sur moi.

    Je l’aide à faire glisser mon pantalon sur mes cuisse, suivi de prêt par mon boxer. Ma chérie se baisse jusqu’à arriver avec sa bouche au niveau de mon gland déjà bien dressé. Elle bisoute celui-ci, puis couvre de bisous ma verge comme si elle ne l’avait pas vue depuis très longtemps. La dernière fois fut ce matin. Ses mains rejoignent sa bouche, elle caresse mes bourses. Sa bouches gobe ma verge. Elle entame une série de vas et viens, de haut en bas. Longs, doucement, elle prend soins de bien l’avaler, de la garder bien au chaud. Je sens sa langue suivre ma queue en même temps que ses lèvres descendent le long de celle-ci. 

    Une de ces mains accompagne maintenant sa bouche. 

    Me voilà au cinéma avec ma femme s’occupant de moi, ce que j’avais mainte fois imaginé se réalisait.

    Je me suis donc laisser aller, je sentais mon jus monter le long de ma verge. Ma femme compris que j’allais jouir car je me crispais, j’accompagnais sa bouche avec des coups de reins. Nous accélérions le mouvement ensemble jusqu’à ce que je jouisse. Ma femme pris ma queue le plus au fond possible dans sa bouche et avala la totalité du jus que je lui offrit. Elle garda ma queue en bouche pour la nettoyer et profiter de la moindre goutte restante.

                    Nous nous réajustons, nous reprenons notre place dans le fauteuil toujours l’un contre l’autre. Le film n’est toujours pas fini. Nous ne comprenons plus rien, et pour tout dire nous n’avons plus la tête à regarder le film. Nous avons certes jouis tout les deux mais ne sommes pas rassasiés pour autant. Je regarde combien il reste au film, encore une heure. Je le dis à ma femme. Elle me sourit. Elle se laisse glisser à genoux au sol, renaisse mon pantalon et mon boxer. Je reste un peu bête mais comprend très vite. 

            Elle entrepris de me remettre en forme, ce qui ne pris pas longtemps, je la laissais tout de même continuer de s’occuper de moi. Elle savait si bien s’y prendre. Elle alterne entre mon gland, ma verge, mes bourses. Elle y met vraiment tout son coeur. Elle relève son regard pour le planter dans le miens, donc 2 coups de langue. S’arrête.

    Elle remonte sa jupe sur ses hanches et s’allonge au sol entre les fauteuils.

             D’un signe du doigt elle m’invite à la rejoindre. Je jette un regard autour de nous, personne ne peut nous voir. Alors je la rejoins. 

    Je l’embrasse, l’étreins et dans l’oreille elle me demande de lui faire l’amour ici même. Je ne lui dis rien mais présente ma queue à l’entrée de son minou. Puis doucement et tendrement je m’insère en elle. Je la pénètre le plus profond possible.

    Une fois au fond je commence à lui faire l’amour, j’alterne des vas et viens doux et lents avec des voyages plus rapides. Elle me dit qu’elle m’aime, qu’elle aime que je lui fasse l’amour comme ça. Elle continue en me disant qu’elle sent le plaisir monter, mais surtout qu’elle voudrait qu’on jouisse ensemble dans ce cinéma. 

    Je continue donc à lui faire l’amour en gérant ma jouissance, en l’embrassant. Cet instant est magique, nous faisons l’amour dans un lieu insolite dans lequel nous pourrions être surpris à tout moment.

               Je me sens venir, je le lui dis à l’oreille, sa réponse est claire « moi aussi ». J’accélère les mouvements et enfin nous jouissons ensemble. Silencieusement mais ensemble.

     

    Juste le temps de se rhabiller, de se réinstaller dans le canapé et la fin du film sonne la fin de séance. Nous nous embrassons et suivons les quelques personnes présentent à la séance vers la sortie.

     

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  •     Après une semaine usante celle-ci se termine, il est 18h nous sommes vendredi. Ce week-end ma femme et moi n’avons rien prévue, c’est ce que nous appelons un week-end imprévu.

        J’arrive donc à la maison en premier, je range mes affaires de travail, me déshabille puis entre dans la douche. J’ai eu froid toute la journée donc je fais couler de l’eau très chaude sur mon corps. Je me caresse pour que l’eau parcourt tout mon corps. Grâce à une enceinte Bluetooth j’écoute la radio tout en me douchant. Je savoure cette eau chaude sur mon corps nu les yeux fermés. Soudain je sens des mains sur mon corps, ce ne sont pas les miennes.

    Je me retourne et me retrouve face à ma femme, nue. Je suis surpris, je ne l’ai pas entendu arrivé. Elle ne me laisse pas le temps de dire mots en m’embrassant fougueusement. Je lui rend son baisé. L’eau chaude coule toujours mais cette fois-ci sur nos deux corps nus. J’aperçois ces seins pointants durs. Je sens mon intimité se dresser. Je la trouve tellement belle. 

    Ces yeux descendent furtivement sur mon entrejambe qui se dresse devant sa beauté. Elle me regarde dans les yeux et me dit « je ne te laisse pas indifférent dis donc » je confirme, je ne peux faire autrement. Je l’embrasse à nouveau, les mains caressent son visage puis descendent jusqu’à arriver sur ces 2 belles poires. Je sens les tétons très durs. 

            J’arrête de l’embrasser pour m’occuper de ces seins. Je suçote le droit, puis le gauche. Je les embrasse, les mange littéralement. Mes mains parcourt son corps, descendent le long de son ventre, continue leur route jusqu’à arriver entre ses cuisses. Elle les écarte instinctivement. Je continue à m’occuper des ces seins pendant que mes mains écartent ces lèvres inférieures. Elles sont humides, et je vous assure que ce n’est pas l’eau coulant du pommeau de douche. Je coupe l’eau, plaque ma femme contre la parois. J’écarte ces cuisse et approche mon visage de son minou. Elle lâche « mange ma chatte » c’est ce que je comptais faire.

            Je pose donc ma langue sur son bouton d’or, il est déjà dur, bien gonflé. Je l’aspire et le fait rouler avec ma langue dans ma bouche. Ma femme gémis, se crispe. J’ouvre ma boucle et donne des coups de langues appuyé sur son clitoris. Je l’emmène comme ça jusqu’à la jouissance. Quand je la sens jouir j’insère ma langue le plus profondément dans son intimité pour savourer sa jouissance. C’est chaud, huileux mais délicieusement bon.

    Elle m’avoue avoir attendu ce cuni toute la journée au point d’avoir trempé sa culotte. Mais qu’elle a aussi attendu avec impatience de pouvoir s’occuper de moi.

             Elle ne tarda pas a joindre les gestes à la paroles. Ses mains attrapa directement mon membre bien dur et se mirent à le caresser. Ma femme m’embrassa sur la bouche puis couvrit mon corps de bisous jusqu’à arriver au niveau de mon entrejambe. Elle le couvrit, lui aussi, de bisous. Couvrit aussi mes bourses de ces bisous que j’adore. Les couvrir de bisous c’est bien, ça donne de l’effet mais le dévorer c’est mieux, elle le sait. Elle avala donc ma queue jusqu’à la garde. 

    Une fois l’avoir goulûment avalé elle entrepris de long va et viens. Doucement, savourant chaque centimètres. Elle accélère le mouvement, accompagne sa bouche avec ces mains, ce qui me provoque un effet de malade. 

    Elle attrape mes fesses de ces 2 mains et avale à nouveau mon gland jusqu’à la garde puis reprend des vas et viens avec forces en donnant le rythme avec ces mains ancrée sur mes fesses. J’ai envie de jouir, je ne tiens plus. Je le lui dis. Elle ne réponds pas mais accélère le mouvement, je sens la jouissance monter. Je suppose qu’elle sent mon corps se raidir, se crisper. Elle ouvre la bouche, attrape ma queue dune mains et la branle fermement. Cette fois-ci je ne peux plus rien retenir et lui donne tout ce que j’ai en moi. Je rempli sa bouche grande ouverte. Elle m’a referme, s’en délecte et avale le tout. Elle revient à mon niveau m’embrasse, m’enlace. Elle me dit à l’oreille qu’elle m’aime. 

                Il faut un peu froid donc je rallume l’eau chaude. Celle-ci parcourt nos 2 corps nus. Ma femme se met d’eau à moi pour que je lui savonne le dos. 

              Je parcours chaque centimètre de peau, je couvre son dos de savon, puis forcément j’arrive au niveau de ces belles fesses. Comme pour le dos je les couvre de savon, je frotte de mes mains pour bien les nettoyer. Je m’agenouille et cette fois-ci entreprend de savonner ses longues jambes. Je pars du haut de là cuisses droites pour arriver jusqu’à son pied droit. Je fais de même pour la gauche puis me relève. Je me colle à elle pour savonner ses seins puis son ventre. Elle se retourne je savonne son minou.

    Cette fois-ci il faut lui enlever le savon donc j’attrape le pommeau de douche. Je fais couler l’eau et donc le savon le long de son corps. Cette vision est sublime. L’eau ruisselle sur son coup puis arrive sur ces seins. Elle ruisselle sur ses tétons qui pointent à nouveau. Elle continue sa route le long du ventre arrive entre ses cuisse. À ce niveau 3 chemins se créent. Un sur la cuisse droite allant jusqu’au pied, une autre à gauche puis un au centre rinçant sa merveilleuse intimité.

              Je la retourne pour cette fois-ci rincer son dos. Je fais couler l’eau sur son coup. Elle descend le long de son dos, arrivant sur ses belles fesses galbées à souhait. J’embrasse son coup. Je suis au garde à vous intimement. Elle le sent.

              Je continue à l’embrasser, elle cambre ses reins. À ce moment je comprend qu’elle m’invite à entrer en elle. Je laisse donc mon membre entrer en elle sans résistance. Une fois arrivé au fond de son intimité je commence des allers retours. Je donne de petits coups de reins. Doucement mais allant bien au fond de son vagin. Je le parcourt de tout son long. 

    Puis j’accélère un peu le mouvement. Je la sens profiter de mes mouvements. Une de mes mains se pose sur son clitoris pour jouer avec. Je sais quel effet cela procure à ma femme. J’accélère encore un peu plus le mouvement. Ma femme crie de plus en plus. Elle m’invite à taper un peu plus fort, elle me dis qu’elle a attendu ça toute la journée. Je fais donc ce qu’elle me demande et en plus d’accélérer le mouvement je donne un peu plus de force. 

    Ses cris m’excitent, j’ai envie de jouir en elle. Je lui susurre à l’oreille que je l’aime, que j’ai envie qu’elle sente tout le désir que je ressent pour elle se répandre en elle. 

    Ça réponse est claire et directe. « Je vais jouir. Jouis avec moi » ces mots ont déclenché en moi quelque chose d’indescriptible. Nous avons de suite à nouveau joui mais cette fois-ci ensemble. 

            L’eau chaude coule toujours. Nous nous savonnons, nous rinçons. Nous nous séchons mutuellement puis ensemble préparons notre repas du soir. Cette douche fût un délice.

            La soirée commence plutôt bien et ce n’est que le début du week-end.

     

     

     

             Nous finissons le repas, nous installons sur le canapé pour regarder un films. Pas envie de sortir ce soir. Nous sommes enlacés l’un contre l’autre. Je lui fais pleins de petits bisous dans le cou ce qui a pour effet de la faire frissonner. Elle me rend mes bisous par un baisé appuyé, long. Le film qui passe à la tv n’est pas top. Me femme vient sur moi tout en continuant à m’embrasser. Mes mains se glissent sous sa nuisette, je la caresse, la serre contre moi.

    Madame se frotte à moi, je durci. Bien entendu elle le sent. Nous nous embrassons de plus belle. Je fais glisser sa nuisette. Elle me déshabille également. Nos corps nus sont l’un contre l’autre. Mes mains caressent, palpent ces fesses. Elle se fait glisser sous le plaid, elle couvre mon corps de bisous. Elle me prend en bouche.

            Elle entreprend une fellation digne d’un film porno. Je lui dis dis que j’aimerai aussi la manger. Elle fait voler le plaid dans la pièce et viens s’installer à califourchon sur moi, m’offrant sont intimité à dévorer. Elle continue sa pipe, moi de mon côté j’entreprends un cuni. Je la lèche de l’entrée de son vagin jusqu’à son clitoris. Je m’attarde sur ce dernier.

    Je le fais rouler avec ma langue, je le suçote. Puis j’emmène ma langue jusqu’à l’entrée de sa grotte et doucement pénètre celle-ci avec. Je vais des vas et viens, je bois sa cyprine, je la lèche. Je mange son entre cuisse littéralement. Je sens qu’elle en fait de même avec mon membre dur comme du béton.

             Mes coups de langues ont raison de son corps et madame joui. Elle accompagne sa jouissance d’un cri qui me surprend.

            Ma femme se redresse. La voir debout, nue, devant moi m’excite au plus au point. J’ai envie de lui sauter dessus. Elle s’installe à 4 pattes sur le canapé à côté de moi et me demande la prendre en levrette. Je me relève donc à mon tour et m’installe derrière elle. Cette vue me donne d’autres envies. Avant de lui offrir la levrette qu’elle me demande je vais jouer avec ma langue, avec ses intimités. Je pose ma langue sur sa petite rondelle, une de mes mains se pose sur son sexe. 

             Je sens ma femme surprise mais elle me laisse faire. Elle ne s’attendait pas à ça. Je lui lèche donc son arrière train, elle gémis. Ma main joue avec son clitoris. Puis un premier doigts s’insère dans sa chatte. Je la doigte pendant que je continue à humidifier son cul. Je m’arrête avec ma langue et insère un deuxième puis un troisième puis enfin ma main dans son minou. Oui je la fist et elle adore. Elle, crie de plaisir. Ma mains est trempé. Elle se met à hurler, son corps se crispe. Et à ce moment là je sens ma main se noyer dans un flot de jus chaud, huileux. 

    Ma femme vient de jouir et elle l’a fait avec ma main en elle.

             Je lèche ma main pour déguster sa cyprine. Puis prend position derrière elle pour lui offrir la levrette qu’elle m’avait demandé. Mais madame me stop. Elle m’explique que finalement elle ne veut pas de levrette. Je reste dubitatif. En me voyant interloqué elle se redresse, m’embrasse et maintenant m’explique qu’elle veut une sodomie. 

             Petit soulagement de ma part, j’ai cru qu’elle allait vouloir s’arrêter.

             Elle se remet donc à quatre pattes et me demande de venir en elle. Je présente donc mon gland à l’entrée de son cul. Et d’elle même se pénètre. Elle commence les allers retours elle même. Je la laisse faire et profite de ce moment. 

                Elle se sodomisa comme ça pendant 5 bonnes minutes puis me demanda de prendre le relais. Bien entendu je le fis, doucement mais profondément. Je prenais mon pied et j’entend qu’elle aussi. Elle me cris de tout donner, de la défoncer. Alors j’accéléra le mouvement et tapa bien au fond. Elle joui sur le canapé sans prévenir ce qui eu pour effet de me faire exploser en elle. Je déchargea tout dans son cul. Nous restâmes un moment comme ça puis elle alla reprendre un douche pendant que je m’occupais de remettre le canapé en ordre puis moi aussi je me dirigea vers la douche une fois qu’elle eu finit. 

             Nous nous réinstallons sur le canapé, cette fois-ci devant un film plus intéressant, accompagné de chips et de boissons sucrés car tout ceci nous a redonner faim et soif.

     

     

                  Le film se termine nous décidons donc de nous mettre au lit pour dormir. Madame est dans une nuisette rouge et noire transparente, sous laquelle elle ne porte rien. J’aperçois ces jolie seins donc les tétons pointent fortement. Peut-être de froid. 

    Nous nous glissons sous la couette, nous nous faisons un petit câlins et nous embrassons avant de tomber dans les bras de Morphée. 

                  Il est 3h du matin, je suis réveillé. Bizzarement mon bas ventre me titille. Ma femme dort profondément. Que dois-je faire?

    Je n’arrive pas à me rendormir alors je tente le tout pour le tout. Je me rapproche de ma femme, je me colle à elle. Elle est sur le dos, ne bouge pas. Je l’enlace, je la caresse, elle dort toujours. 

                  Je me glisse sous la couette, j’ai envie de la dévorer. Je descend sous cette couette jusqu’à arriver au niveau de ces cuisses. J’enjambe l’une d’elle pour me retrouver entre celles-ci. Une fois bien installé j’entreprend de lui manger le minou. Il suinte, il coule de plaisir. Elle bouge. Je remonte à sa rencontre.

    Me voilà au dessus d’elle, elle entre-ouvre ces yeux. Je l’embrasse et je décide de lui faire l’amour. Je l’insinue en elle. 

    Je suis sur elle à lui faire l’amour, nous nous embrassons, nous nous caressons. Nous ne disons rien, elle gémit signe que le plaisir monte. Elle me repousse et viens sur moi. 

               À cheval sur moi elle me fait l’amour à son tour. Je suis tellement excité que j’ai envie de jouir mais je me retiens je veux que nous jouissions ensemble. 

    Elle gémit de plus en plus fort, elle accélère ses mouvements. Je connais ce moment, cela veut dire qu’elle va jouir. Quand je la sens enfin jouir sur moi, j’en fais de même en elle. Elle s’effondre sur moi, je suis toujours en elle. Elle bascule sur le côté, nous nous embrassons longuement. Puis nous reprenons notre nuit. Je ne met pas longtemps à me rendormir. L’envie que j’avais a disparu.

     

     

                      Le week-end comment plutôt chaudement. Nous nous réveillons sur le coup des 10h, prenons tranquillement notre petit déjeuner. Ma femme me dit combien elle a apprécié le réveil de cette nuit. Elle me proposes de rester tranquille aujourd’hui mais de s’organiser une soirée qu’elle souhaiterai très caliente. Ma femme me dit avoir envie de sexe ce week-end. Nous discutons de ces envies exactes. Elles sont plutôt simples et sans fioriture. Un trio voir plus. 

    Je suis pas contre mais il faut que l’on trouve nos invités ou nos hôtes. Nous nous mettons d’accord pour consacrer cette après-midi de calme pour trouver nos futurs amis d’un soir ou plus.

    Nous entamons donc des discussions avec plusieurs hommes, espérant trouver celui qui plaira à madame comme à moi même.

     

     

     

                      La soirée est la, il est 20h nous avons dîner en tête à tête, nous attendons notre invité. Un homme très charmant sur photo. Nous avons bien discuté et il nous a plus à tout les deux.

                      20h30, le voilà qui sonne à la porte. Madame ça lui ouvrir la porte. Ma femme porte une jupe mi-cuisses, des dessous noir avec liserait rouge, des talons de quelques centimètres, un haut avec un décolleté plongeant. Elle est sexy à souhait. Lui se présente très bien habillé également, jean, chaussures de ville et un chemise en guise de haut. Je suis habillé comme lui.

    Nous nous installons sur le canapé et commençons à faire plus ample connaissance. Nous buvons un apéritif pour détendre l’atmosphère car nous le sentons un peu nerveux. 

                      Madame se rapproche un peu de lui, pose ses mains sur ses cuisses. L’effet est immédiat, une bosse apparaît au niveau de son entre jambe. Il ne bouge pas, il n’ose pas. Ma femme prend les devants en prenant les mains de ce charmant jeune homme pour les poser sur elle. De la elle lui dis de la caresser, qu’il peut se lâcher et se laisser aller.

                       Le voilà qui deviens sur de lui. Ces mains parcourt ma femme, elle se laisse faire. Moi je profite du spectacle. Ses mains passe sous la tenue de ma femme, il l’a débarrassé de son haut puis de son soutien gorge découvrant une poitrine avec des tétons déjà bien durs. La connaissant je pense que sa culotte doit déjà être trempée. Il embrasse la poitrine de ma femme, lui mange les seins un par un, lui gobe les tétons. Ma belle me regarde et me lance un sourire qui en dis long sur son état. Je les rejoint en m’installant derrière ma femme.

                      Je l’embrasse dans le cou pendant qu’elle se fait dévoré les seins par cet homme inconnu il y a encore 1h. Je l’invite à s’allonger un peu plus contre moi. Notre invité descend le long du ventre, elle l’invite à lui enlever cette jupe qui devient gênante. Il comprend vite et fait sauter cette jupe. Il embrasse ce petit string, l’entoure de bisous. Tout en l’embrassant il descend le long. Ce de la cuisse droite en prenant soins de faire glisser le bas la couvrant. Il remonte, contourne l’intimité de Romane pour couvrir de bisous la cuisse puis la jambe gauche tout en prenant soins de faire glisser le bas. Le voilà qui remonte à nouveau.

    Ma femme et moi nous embrassons, je caresse sa belle poitrine. Je fais glisser une mains le long de son ventre pour la laisser se glisser sous ce beau bout de tissus qui deviens très gênant. Je découvre ma femme dans un état d’excitation extrême. Sa cyprine coule sur son string, j’invite notre invité, que nous appellerons Marc, à ôter le string et commencer à profiter de l’excitation de ma femme.

                      Son visage s’approche délicatement du sexe de ma femme, il ouvre la bouche et en fait sortir sa langue.  Il l’a pose sur le bouton déjà bien dur de ma femme. Je le vois donner des coups de langues appuyés, ma femme se tord de plaisir. Sa tête bascule à l’arrière, elle gémis. Elle le stop pour lui demander de s’allonger sur le dos. Elle s’installe en soixante-neuf sur lui. Elle nous dit que comme cela elle pourra elle aussi profiter de lui, de nous. 

                       Ma femme et notre invité se retrouve donc en soixante neuf, moi je viens au niveau des cuisses de Marc. Romane est en train de s’occuper de ce dernier quand j’arrive à sa hauteur. Elle relève la tête et me prend en bouche. Elle attrape ma queue en main et la gobe littéralement. Elle fais des vas et viens appuyé, énergique ce qui a pour effet de me faire frissonner. Je sens le plaisir monter. Me sentir entre les lèvres de ma femme fais monter en moi la chaleur. J’entend ces gémissement étouffés par mon membre dont elle s’occupe. 

    Elle me délaisse après quelques minutes pour revenir à Marc. Son intimité est tout dur, bien dressé. Il ne demande qu’à être pris en mains ce que ma femme ne tarde pas à faire. Elle accompagne ses mains de sa bouche. Marc se raidit, il nous prévient que son plaisir monte sévèrement. Ma femme veut le voir jouir alors elle accélère le mouvement, je viens l’aider. Je lèche les bourses de Marc pendant que Romane s’occupe de sa tige. Le voilà qui se crispe et laisse échapper un geyser de sperme. Ma femme avait ça bouche ouverte au dessus, elle profita donc de cette jouissance et s’en délecta.

                        Elle le nettoya un peux comme elle sait si bien le faire avec sa langue. Il continua son cuni. Ma femme gémit de plus en plus fort et lui offrit un flot de cyprine qu’il apprécia également fortement d’après ce qu’il nous a dit. Marc était encore bien dur malgré avoir joui. Romane se retourna et fit entrer sa verge en elle. Moi je me mis au niveau de la petite rondelle de ma femme pour lui offrir une feuille de rose qu’elle adore. 

                        Ma femme prise par Marc, moi lui procurant un anulingus, tout le monde était bien occupé. Mais surtout tout le monde prenait son pied. Ma femme criait comme jamais, notre invité semblait aux ange. Moi je m’apprêtai à les rejoindre totalement dans leurs ébats. Cet orifice dont je m’occupais depuis un petit moment déjà était bien ouvert et était prêt pour que je m’en occupe plus sérieusement. Ma femme ralenti donc le rythme sur Marc et me demanda de la prendre par derrière pendant qu’elle se baisait sur notre invité.

    Je présenta donc mon gland à l’entrée de son cul, tout doucement elle me fit entrer en elle. Me voilà maintenant au fond de son cul, je sens également Marc au fond du minou de Romane. Nos queues se touchent, s’effleurent. Nous ne bougeons plus et laissons Romane se pénétrer en sandwich comme elle l’a si souvent souhaité. Ce moment était magique. 

                      Elle alternait entre vitesse et douceur. Ces gémissements allaitent crescendo. Plus elle se pénétrait rapidement plus elle gémissait. Je sentait le plaisir monter en moi, monter le long de ma verge. Je veux jouir mais je veux que nous jouissions tous ensemble donc j’essaye de tout retenir. Ma femme est trempé de jouissance. Je lui ramone toujours son merveilleux cul, Marc, lui, est toujours en train de ramoner la chatte de ma femme. Tout le monde cris de plus en plus, Romane nous annonce qu’elle va jouir, Marc la suit, je les suis également. Nous accélérons les mouvements jusqu’à ralentir et décharger dans ma femme. Moi au fond de son cul, Marc dans sa capote mais au fond du vagin de ma femme. Nous restons un instant sans bouger, essoufflé, transpirant mais détendu. Je me retire le premier, Marc fait de même. Nous nous allongeons les uns à cotés des autres. Ma femme nous remercie, me remercie et m’embrasse langoureusement. 

                       Je propose que nous allions boire un coup après cette sessions chaude en émotions. Ma soirée continue donc autour d’un verre et de gâteaux apéro en discutant de tout. 

    Marc doit nous quitter, nous lui disons au revoir et l’accompagnons jusqu’à sa voiture non sans lui dire à bientôt. À bientôt car Romane souhaiterai le revoir et moi aussi. Nous rentrons chez nous, épuisé mais content de cette soirée. Il est trois heure du matin nous allons nous coucher.   

     

     

     

     

                    Après un bonne nuit de sommeil je me réveil, il est 10h. Je sors du lit discrètement pour ne pas réveiller Romane qui dort à poings fermés. Je bois un café et décide de préparer le petit déjeuner à ma chère et tendre, petit déjeuner que je lui emmènerai au lit.

    11h je l’entend émerger de son sommeil. Je vais la retrouver dans la chambre avec un plateau garni d’un café, de la confiture, des tranches de pains grillés, de la confiture et un verre de jus d’orange. Elle est agréablement surprise à voir son regard et elle me remercie en me gratifiant d’un baisé. Je m’installe à côté d’elle pour profiter de ce dimanche en amoureux. 

                     Après son petit déjeuner pris je débarrasse le plateau et elle me demande de la rejoindre aussitôt après dans le lit. Ce que je fais bien entendu. Nous discutons, nous embrassons, nous câlinons. Je sens ces mains passer sur mon corps en commençant par le dos qu’elle parcourt de haut en bas, puis celles-ci passe sur mon torse et d’un coup me font basculer sur le dos. Ma femme monte sur moi immédiatement, elle continue à m’embrasser. Ses mains deviennent plus insistante sur mon visage, mon corps. Elle me susdite à l’oreille qu’elle a envie de moi et qu’elle va s’occuper de moi. Je n’y oppose pas de résistance.

                     Sa bouche couvre mon corps de bisous, elle descende le long de mon ventre. Je sens le désire monter en moi, une chaleur parcourt mon corps. Mon intimité durci, ma verge se dresse sous l’effet de ces bisous et de ces caresses. Romane joue avec moi. Elle tourne autour de mon sexe sans jamais le toucher. Sa bouche passe sur mon pubis, contourne mon sexe pour embrasser ma cuisse gauche puis remonte et va bisouter la droite. Je me sens de plus en plus dur. La chaleur m’envahit. J’ai envie qu’elle me suce, qu’elle joue avec mon gland. J’ai envie de sentir sa bouche chaude et humide avaler mon gland.

    Voilà l’instant que j’attendais. Elle fait descendre ses lèvres le long de ma verge. Je sens enfin sa chaleur et son humidité sur moi. Elle descend puis remonte. Ses vas et viens sont lent mais avalent complément mon sexe. Voilà que ces mains se posent aussi dessus, elles serrent ma verge déjà extrême dure pour accompagner les allers retour de sa bouche. Cette fellation est divine. J’aimerai pouvoir également m’occuper d’elle, ce que je lui dis.

                     Elle ne dis rien, remonte à la rencontre, m’embrasse à nouveau. Puis ma chérie se retourne, s’installe à califourchon sur moi et m’offre à manger sa vulve déjà humide à souhait. Je pose ma langue d’abord entre ses deux lèvres inférieures. Je lape le jus qui s’y trouve puis remonte pour trouver un bouton dur et gonflé. 

    Je commence par donner de petits coups de langue à ce bouton et au vu de la réaction corporelle de ma femme ça ne la laisse pas indifférent, je continue donc. Quand à elle je la sens reprendre ma queue en bouche et continuer ce qu’elle faisait tout à l’heure. La chaleur est maintenant partout en moi, je sens mon corps tressauter de plaisir. 

    Son corps tressaute également signé que sa jouissance n’est pas loin. Pour l’y emmener accélère le mouvement, j’appuie un peu plus avec ma langue. Elle se crispe de plus en plus, elle a lâché mon membre, elle gémit. 

                    Dans un cris puissant elle joui. Elle se retourne et viens se mettre sur moi en missionnaire. Nous nous embrassons à nouveau puis elle me dit « je vais te faire l’amour jusqu’à te sentir jouir en moi »

    Elle joint l’acte aux parole et par un petit coup de bassin fait entrer mon sexe en elle. Elle descend son bassin jusqu’à m’avoir au plus profond d’elle même. De la elle entame une série de vas et vient alternant rapidité et lenteur. Cette alternance de vitesse, de profondeur de pénétration à un effet fou sur moi. Je sens la jouissance parcourir mon bas ventre. Je sens le jus monter le long de la verge. Je l’enlace, la sert fort contre moi et je lui dis dis que je vais jouir. Qu’elle va me faire jouir. Elle ralenti un peu plus les mouvements jusqu’à ce moment où j’explose littéralement en elle.

    Je laisse jaillir tout la semence dans son intérieur. Elle me signifie qu’elle adore me sentir jouir en elle. Nous enlaçons de plus belle. Je la sert très fort contre moi. Ce câlins dura une éternité. 

                     Après ce câlin nous avons pris une douche ensemble puis avons passé un dimanche au repos devant la télévision. 

     

     

     

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  • Je me prénomme Pierre, je suis célibataire depuis quelques mois. Aujourd’hui nos sommes samedi et depuis mardi je discute avec une femme qui se prénomme Marie. C’est elle qui m’a envoyé un message la première car une collègue lui a montré des photos de moi. 

    Elle a donc entamé la discussion et tout de suite ça a collé. Nos famille sont originaire du même village donc nous avons discuter de ce village, du passé de ce village, de nos familles. Petit à petit nous sommes arrivé à parler de nous.

           Elle est plus âgé que moi de quelques années mais cela n’a pas l’air de lui poser problème. Nos discussions me plaisent énormément, nous parlons de tout. Aussi bien de notre enfance que de sexe en passant par la musique, nos loisirs, passions et j’en passe. Nous avons tout les deux des enfants ce qui créée un certains liens. Quand je parle avec elle j’ai des papillons dans le ventre. La première chose que je fait en me levant c’est de lui envoyer un petit bonjour par message et ensuite j’attends avec impatience sa réponse. C’est bizarre car nous ne nous sommes jamais rencontré encore. Celle-ci est prévu pour mercredi. 

    Bien entendu nous avons échangé des photos et je dois avouer qu’elle me plait beaucoup, elle m’a dis que je lui plaisait également maintenant j’espère que je lui plairais toujours quand elle me verra. 

           Mon impatience de la rencontrer augmente de jours en jours depuis mercredi. je suis de nature impatient et je préfère voir les gens réellement que des discussions virtuelles sans fins. Nous en discutons cela va de sois, elle m’avoue qu’elle stress un peu, elle appréhende de ne pas me plaire. Elle a peur que la rencontre ne créer rien entre nous. Moi aussi j’ai un certain stresse, j’ai peur de ne pas lui plaire, de faire quelque chose qui lui déplaise beaucoup au point d’écourter la soirée mais il ne faut pas y penser et rester positif.

            La semaine avance, nous passons le week-end à s’écrire, nous nous appelons le soir. Nous continuons à discuter de nos journée et pleins de choses. Lundi passe, mardi passe, mercredi est la. 

             Nous sommes mercredi soir, je fini le travail à 18h. Marie sera la vers 21h. Je range l’appartement, fais un brin de ménage, mon stresse monte. Je vais me doucher, l’eau chaude me détendra certainement un petit peu. 20h, elle arrive d’ici une heure environs, comment dois-je m’habiller?

    Oula l’heure avance 20H30, j’ai trouvé comment m’habiller, jean’s chemise. Je suis parfumé, je suis rasé, je crois que je suis prêt à l’accueillir. 21h ça sonne, j’ouvre la porte et la découvre. En fait nous nous découvrons mutuellement. Quelle agréable surprise, une vague de chaleur m’envahi, je bloque. Elle est hésitante, je m’excuse d’avoir buggé et l’invite à entrer. je lui prend son manteau et l’invite à se mettre à l’aise.

               Voilà nous y sommes, elle est chez moi, nous sommes l’un à côté de l’autre. Je lui propose à boire, ce qu’elle accepte. Wiskhy Coca pour elle, Vodka oasis pour moi, le tout accompagné de gâteau apéro. L’un et l’autre sommes hésitant, timide, nous n’arrivons pas à parler mais il va bien falloir que nous nous disions quelque chose. Des vagues de chaleur m’envahissent, mes mains sont moites, les mots ne veulent pas sortir. J’ai l’impression d’avoir quinze ans. Mon estomac est noué. C’est décidé je me lance et lui demande si elle va bien, elle me répond que oui. Voilà je me sens plus détendu, je la sens plus détendu, la glace est brisée. Nous entamons des discussions, comme par messages nous discutons de tout et rien, nous faisons plus ample connaissance. Elle me plait énormément.

              Mon estomac se dénoue, mes mains sont moins moites. Je me sens plus détendu mais une question me taraude, est-ce que je lui plais? 

    Voilà une heure que nous discutons, rigolons, je me rapproche un peu d’elle, elle ne recule pas ce qui a pour effet de déclencher une vague de chaleur fulgurante en moi . J’ai envie de la prendre dans mes bras, l’enlacer, l’embrasser, la couvrir de bisous.  Dois-je laisser ma main se passer sur la sienne, dois-je lui poser le bras sur épaule, dois-je laisser ma mains caresser son dos. Autant de questions qui me traversent l’esprit mais je n’ai pas le temps de réfléchir plus longtemps.

              Alors que j’étais en train de lui parler de mon passer elle s’avança vers moi et m’embrassa. Au début surpris je reste bloqué, elle s’arrête dans un mouvement de recul puis s’excuse. Je reprend vite mes esprits pour lui dire qu’elle n’a pas à s’excuser et je l’embrasse de plus belle. Ce baisé dura un temps infini, j’ai attendu ce moment depuis que je lui ai ouvert la porte. Nous nous embrassons donc, mes mains caressent son visage dont la peau est extrêmement douce et agréable à caresser.

    Ce moment semble ne jamais se finir, je n’ai pas envie qu’il se termine mais nous faisons une pause et je profite de ce moment pour lui avouer en avoir eu envie depuis qu’elle c’est présenter devant ma porte. D’un coup tout mon stresse à disparu, mon estomac c’est dénoué en un éclair mais les vagues de chaleur sont toujours là. 

               Nous faisons une pause dans ces longs baisés pour boire, grignoter et discuter un peu mais l’envie ne tarda pas à revenir et nous nous retrouvons aussitôt à nous embrasser l’in des les bras de autre. Cette fois-ci je sens ces mains se glisser sous mon t-shirt. Marie caresse mon dos puis mon torse et cela me rend encore plus chaud. Je bouillonne en moi, je commence à être dans un état de plaisir intense. J’en fais de même et mes mains parcourt son dos puis j’enlace son visage. Je fais descendre mes mains le long de son cou, puis elle parcourt sa poitrine par dessus son t-shirt, je continue de les faire descendre je m’arrête en bas du t-shirt pour le remonter et finalement lui ôter. Je suis subjuguer par cette vision.

     Son t-shirt cachait une poitrine merveilleusement belle recouverte d’un soutien-gorge noir et rouge comme je les aime. Je lui enlève ce dernier et cette superbe poitrine se dévoile à moi, je la couvre de bisous, je l’embrasse à pleine bouche. elle fait voler mon t-shirt à travers la pièce puis nous nous allongeons, moi sur elle. Je la couvre de baisés, de bisous. Je couvre de bisous son visage, ses mains sur mon corps me font frissonner, je sens qu’elle frissonne également sous mes bisous et caresses. Je descend le long de son corps après avoir couvert de bisous cette si belle poitrine, j’arrive au niveau de sa ceinture. Je commence à la défaire, puis j’enlève le premier bouton de son jean’s, elle ne dit rien alors je continue jusqu’a ce que son pantalon soit complètement ouvert. Marie m’aide à lui enlever et son jean’s découvre une culotte en tissu rouge et noir qui je pense doit aller de paire avec le soutient-gorge. Je pose mes mains sur ces cuisses et les caresses de haut en bas puis de bas en haut, je les fais glisser à l’intérieur et remonte jusqu’à la frontière de son intimité, je sens qu’elle à chaud et je sensé vois également que sa culotte est humide. Je lui ôte pour ne pas faire durer ce que j’imagine être un calvaire pour elle.

     Je ne fais pas durer l’hésitation plus longtemps et me lance, je pose ma bouche sur son sexe. Elle ne dit rien, elle ne bouge pas donc je joins ma langue à mes lèvres. Elle se tortille, elle gémit, son minou coule de plaisir et moi je le savoure. Marie est délicieusement belle mais aussi délicieuse, cette femme me fait fondre. Je suis extrêmement dur, je transpire tellement elle me donne chaud. Je suis obnubilé par son corps, par ses cris, j’ai envie de la dévorer et je le fais déjà en parti. J’ai envie de l’étreindre tellement fort. Je continu mon cuni, j’accélère les mouvements sentant qu’elle se tortille de plus en plus, entendant qu’elle laisse sortie des cris de plus en plus fort. Mes coups de langues sont appuyés et rapides et Marie ne tarde pas à jouir pour la première fois avec moi. Je profite de ce moment et de ce qu’elle me donne, une fois bien savourer je remonte à non niveau non sans laisser au passage au pied du canapé mon pantalon laissant apparaitre sans équivoque sous mon boxer une bosse. 

    Je l’embrasse, nous nous embrassons tout en nous caressant, elle m’avoue être gêné. Je lui demande de pourquoi est-elle gênée et elle me dit à cause de ses cris, je l’arrête de suite pour lui expliquer que je préfère les femmes qui extériorisent leur plaisirs que celles qui ne disent rien. Sans rien dire de plus elle se jette sur moi en m’embrassant et en me faisant basculer sur le dos. 

     Je crois qu’elle a décider de prendre le dessus, c’est elle cette fois-ci qui me couvre de bisous, qui fait parcourir mon corps de ses mains. Je frisonne de plaisir, je me tortille, je transpire tellement j’ai chaud, mes mains sont moites. Elle descend le long de mon torse avec sa langue puis elle parcourt mon ventre pour arriver au niveau de mon boxer, elle ne perd pas de temps et l’enlève illico découvrant mon sexe bien droit. je bande depuis le début, depuis que je lui ai ouvert le portail et qu’elle est descendu de sa voiture. Encore plus depuis que je l’ai littéralement découverte. Elle semble un peu surprise mais ravi aussi au vue du sourire qu’elle m’a lancé. 

    Elle commence d’abord pas bisouter mon pubis, elle tourne autour de mon intimité, ses mains jouent un peu avec et finalement elle l’embrasse goulument. Elle prend ma verge en bouche et fais des va et viens énergiques puis plus doux, je crois qu’elle a trouvé mon point sensible. A ces lèvres elle joint ses mains, l’ensemble me procurent une fellation divine, tellement divine que je suis au bord de l’explosion et je pense qu’à mon attitude elle l’a compris également. Elle s’arrêta donc pour revenir à mon niveau puis elle s’allongea à mes coté et m’invita sur elle. Elle m’avoue à ce moment la qu’elle souhaite que je lui fasse l’amour, je m’exécute donc avec plaisir. 

     Doucement je la pénètre, je vais jusqu’au maximum puis j’entame des allers retours en elle, je la couvre de bisous car je souhaite que cette première fois ensemble soit notre premier souvenir intime. Je continue à la pénétré et je sens bien que son plaisir monte, j’embrasse ses merveilleux seins dont les tétons sont dures comme pas possible. Je joues avec eux, je fais tourner ma langue autour, Marie se tortille, Marie se raidi. Elle gémis de plus en plus fort, elle cris qu’elle va jouir. Pour ma part je me retiens depuis maintenant un moment déjà donc je lui dis que moi aussi et alors que nous nous embrassions nous avons jouis ensemble. Nous nous sommes embrassé encore plus fort à ce moment la, puis je me suis laissé tomber sur elle et je l’ai serrer si fort contre moi qu’elle ne devait avoir du mal à respirer. 

     

     C’était notre premier câlin, la première fois que nous découvrions nos corps et cette découverte fût merveilleuse. Nous n’arrêtions pas de nous embrasser, de nous caresser, nous ne nous quittions plus des bras de l’un de l’autre. Nous n’avions simplement plus envie de nous quitter.

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  •         C’est dimanche et comme une fois par mois je suis de garde. Je prend mon poste à 8h. Cela fait 1 semaine que je n’ai pas vue ma chérie, elle me manque et il semblerait que je lui manque également. 

    Le local est composé d’une kitchenette avec table et chaises et d’une chambre à coucher avec 2 lits de camp. Avec mon collègue nous prenons possessions des lieux pour la journée. Nous vivons un café, je textotte avec ma chérie qui me dit que si elle pouvait elle passerai bien me voir au local. Dans la vie tout est possible mais le risque c’est que je doive partir quand entre temps. On se dit qu’on verra bien dans la journée.

             Il est 10h toujours pas de sortie à l’horizon. Mon collègue me demande s’il peut passer voir sa famille, je lui dis que bien entendu il peu vue qu’ils sont dans le secteur mais qu’il rets bien joignable. Je me retrouve donc seul au local. Ma chérie me propose de venir et que si je dois partir elle m’attendra. Je lui donne l’adresse et la voilà qui arrive 30 minutes plus tard.

            Nous enlaçons longuement, nous embrassons longuement également. Nous sommes heureux de nous retrouver enfin. Je lui propose un café elle accepte. Nous en buvons un tout les deux, enlacés. Mes mains la caresse, je l’embrasse dans le coup, je la couvre de bisous.

    Mes mains commence à parcourir son corps, les siennes aussi. Elle me fixe du regard. Je l’invite à me suivre et l’emmène dans la chambre où se trouve les lits. Surprise elle me stop et me demande pour mon collègue, je lui répond qu’il est parti voir sa famille et que je l’appelle si on doit partir donc nous sommes tranquille tout les deux. Nous allons pouvoir rattraper tout cette semaine pendant laquelle nous ne nous sommes pas vue.

               Je lui enlève son sweat, puis son t-shirt laissant apparaître un magnifique soutiens gorge noir et rouge. Tout en l’embrassant dans le cou je dégrafe ce sous-vêtement qui couvre cette poitrine que je m’empresse d’embrasser.

    Je m’attarde un peu dessus suçotant des tétons très durs. Je sens son corps tressauter, ces mains cherchant à me déshabiller également. Elle attrape mon visage, m’embrasse et tout en me fixant droit dans les yeux me dit « fais moi l’amour »

    Tout en s’approchant d’un lit elle enlève pantalon, culotte je la suis en faisant de même. Elle s’allonge sur le lit, m’invite à la rejoindre. Je m’allonge sur elle, j’ai envie de la pénétrer mais j’ai envie avant de dévorer son intimité car lui aussi m’a manqué. 

     Tout en la couvrant de bisous je me rapproche de son minou, je pose ma langue dessus. Elle tressaute, lâche un petit gémissement. Je la sens déjà humide à souhait, elle m’avait dis qu’elle avait envie de moi et je le sens. Je savoir son jus tout en m’amusant avec son clito. Je lui donne des coups de langue, je l’aspire. Ma chérie gémis de plus en plus, se crispe de plus en plus. J’accélère le mouvement et avec un cri à peine retenu je la sens jouir. Un flot de cyprine envahi ma bouche. Je m’en délecte, je n’en laisse aucunes gouttes. 

               Elle m’invite à remonter à son niveau et m’embrasse fougueusement. Son baiser en dit beaucoup donc naturellement je présente ma verge à l’entrée de sa chatte. Je me rapproche doucement puis une fois contre l’entrée je commence à forcer pour enfin la pénétrer mais elle m’arrête et me repousse sur le dos.

    Elle s’installe sur moi et droit dans les yeux me dis « tu t’es amusé avec ma chatte à moi de m’amuser avec ta bite » aux paroles elle joignit le geste et sans attendre pris ma verge en bouche pour commencer une pipe des plus agréable. Elle commença comme à son habitude pas faire des vas et viens avec sa bouche sur cette queue toute dure. Me sentir dans sa bouche chaude et humide qu’elle bonheur. Elle s’arrête de temps en temps pour jouer avec sa langue sur mon gland, puis fait parcourir sa langue le long de mon membre jusqu’à arriver aux bourses. Celle-ci elle en prend soins, elle les lèche, les mange délicatement tout en branlant ma verge avec ces mains.

                 Je n’en peux plus je vais jouir, je lui dis. Elle arrête tout. Elle s’installe à 4 pattes sur le lit et me dit « je veux te sentir jouir en moi, je veux jouir avec toi, prend moi en levrette » 

    Je me met donc derrière elle pour entamer une levrette bruyante, bandante, mouillante mais surtout jouissante.

    Nous n’avions pas fais l’amour depuis tellement de jour que nous avons joui tout les deux rapidement mais ensemble. 

     

                  Nous nous écroulons sur ce petit lit l’un dans les bras de l’autre et continuons à nous embrasser longuement. Nous profitons de ce moment de retrouvailles, nous le savourons.

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