• Je me prénomme Pierre, je suis célibataire depuis quelques mois. Aujourd’hui nos sommes samedi et depuis mardi je discute avec une femme qui se prénomme Marie. C’est elle qui m’a envoyé un message la première car une collègue lui a montré des photos de moi. 

    Elle a donc entamé la discussion et tout de suite ça a collé. Nos famille sont originaire du même village donc nous avons discuter de ce village, du passé de ce village, de nos familles. Petit à petit nous sommes arrivé à parler de nous.

           Elle est plus âgé que moi de quelques années mais cela n’a pas l’air de lui poser problème. Nos discussions me plaisent énormément, nous parlons de tout. Aussi bien de notre enfance que de sexe en passant par la musique, nos loisirs, passions et j’en passe. Nous avons tout les deux des enfants ce qui créée un certains liens. Quand je parle avec elle j’ai des papillons dans le ventre. La première chose que je fait en me levant c’est de lui envoyer un petit bonjour par message et ensuite j’attends avec impatience sa réponse. C’est bizarre car nous ne nous sommes jamais rencontré encore. Celle-ci est prévu pour mercredi. 

    Bien entendu nous avons échangé des photos et je dois avouer qu’elle me plait beaucoup, elle m’a dis que je lui plaisait également maintenant j’espère que je lui plairais toujours quand elle me verra. 

           Mon impatience de la rencontrer augmente de jours en jours depuis mercredi. je suis de nature impatient et je préfère voir les gens réellement que des discussions virtuelles sans fins. Nous en discutons cela va de sois, elle m’avoue qu’elle stress un peu, elle appréhende de ne pas me plaire. Elle a peur que la rencontre ne créer rien entre nous. Moi aussi j’ai un certain stresse, j’ai peur de ne pas lui plaire, de faire quelque chose qui lui déplaise beaucoup au point d’écourter la soirée mais il ne faut pas y penser et rester positif.

            La semaine avance, nous passons le week-end à s’écrire, nous nous appelons le soir. Nous continuons à discuter de nos journée et pleins de choses. Lundi passe, mardi passe, mercredi est la. 

             Nous sommes mercredi soir, je fini le travail à 18h. Marie sera la vers 21h. Je range l’appartement, fais un brin de ménage, mon stresse monte. Je vais me doucher, l’eau chaude me détendra certainement un petit peu. 20h, elle arrive d’ici une heure environs, comment dois-je m’habiller?

    Oula l’heure avance 20H30, j’ai trouvé comment m’habiller, jean’s chemise. Je suis parfumé, je suis rasé, je crois que je suis prêt à l’accueillir. 21h ça sonne, j’ouvre la porte et la découvre. En fait nous nous découvrons mutuellement. Quelle agréable surprise, une vague de chaleur m’envahi, je bloque. Elle est hésitante, je m’excuse d’avoir buggé et l’invite à entrer. je lui prend son manteau et l’invite à se mettre à l’aise.

               Voilà nous y sommes, elle est chez moi, nous sommes l’un à côté de l’autre. Je lui propose à boire, ce qu’elle accepte. Wiskhy Coca pour elle, Vodka oasis pour moi, le tout accompagné de gâteau apéro. L’un et l’autre sommes hésitant, timide, nous n’arrivons pas à parler mais il va bien falloir que nous nous disions quelque chose. Des vagues de chaleur m’envahissent, mes mains sont moites, les mots ne veulent pas sortir. J’ai l’impression d’avoir quinze ans. Mon estomac est noué. C’est décidé je me lance et lui demande si elle va bien, elle me répond que oui. Voilà je me sens plus détendu, je la sens plus détendu, la glace est brisée. Nous entamons des discussions, comme par messages nous discutons de tout et rien, nous faisons plus ample connaissance. Elle me plait énormément.

              Mon estomac se dénoue, mes mains sont moins moites. Je me sens plus détendu mais une question me taraude, est-ce que je lui plais? 

    Voilà une heure que nous discutons, rigolons, je me rapproche un peu d’elle, elle ne recule pas ce qui a pour effet de déclencher une vague de chaleur fulgurante en moi . J’ai envie de la prendre dans mes bras, l’enlacer, l’embrasser, la couvrir de bisous.  Dois-je laisser ma main se passer sur la sienne, dois-je lui poser le bras sur épaule, dois-je laisser ma mains caresser son dos. Autant de questions qui me traversent l’esprit mais je n’ai pas le temps de réfléchir plus longtemps.

              Alors que j’étais en train de lui parler de mon passer elle s’avança vers moi et m’embrassa. Au début surpris je reste bloqué, elle s’arrête dans un mouvement de recul puis s’excuse. Je reprend vite mes esprits pour lui dire qu’elle n’a pas à s’excuser et je l’embrasse de plus belle. Ce baisé dura un temps infini, j’ai attendu ce moment depuis que je lui ai ouvert la porte. Nous nous embrassons donc, mes mains caressent son visage dont la peau est extrêmement douce et agréable à caresser.

    Ce moment semble ne jamais se finir, je n’ai pas envie qu’il se termine mais nous faisons une pause et je profite de ce moment pour lui avouer en avoir eu envie depuis qu’elle c’est présenter devant ma porte. D’un coup tout mon stresse à disparu, mon estomac c’est dénoué en un éclair mais les vagues de chaleur sont toujours là. 

               Nous faisons une pause dans ces longs baisés pour boire, grignoter et discuter un peu mais l’envie ne tarda pas à revenir et nous nous retrouvons aussitôt à nous embrasser l’in des les bras de autre. Cette fois-ci je sens ces mains se glisser sous mon t-shirt. Marie caresse mon dos puis mon torse et cela me rend encore plus chaud. Je bouillonne en moi, je commence à être dans un état de plaisir intense. J’en fais de même et mes mains parcourt son dos puis j’enlace son visage. Je fais descendre mes mains le long de son cou, puis elle parcourt sa poitrine par dessus son t-shirt, je continue de les faire descendre je m’arrête en bas du t-shirt pour le remonter et finalement lui ôter. Je suis subjuguer par cette vision.

     Son t-shirt cachait une poitrine merveilleusement belle recouverte d’un soutien-gorge noir et rouge comme je les aime. Je lui enlève ce dernier et cette superbe poitrine se dévoile à moi, je la couvre de bisous, je l’embrasse à pleine bouche. elle fait voler mon t-shirt à travers la pièce puis nous nous allongeons, moi sur elle. Je la couvre de baisés, de bisous. Je couvre de bisous son visage, ses mains sur mon corps me font frissonner, je sens qu’elle frissonne également sous mes bisous et caresses. Je descend le long de son corps après avoir couvert de bisous cette si belle poitrine, j’arrive au niveau de sa ceinture. Je commence à la défaire, puis j’enlève le premier bouton de son jean’s, elle ne dit rien alors je continue jusqu’a ce que son pantalon soit complètement ouvert. Marie m’aide à lui enlever et son jean’s découvre une culotte en tissu rouge et noir qui je pense doit aller de paire avec le soutient-gorge. Je pose mes mains sur ces cuisses et les caresses de haut en bas puis de bas en haut, je les fais glisser à l’intérieur et remonte jusqu’à la frontière de son intimité, je sens qu’elle à chaud et je sensé vois également que sa culotte est humide. Je lui ôte pour ne pas faire durer ce que j’imagine être un calvaire pour elle.

     Je ne fais pas durer l’hésitation plus longtemps et me lance, je pose ma bouche sur son sexe. Elle ne dit rien, elle ne bouge pas donc je joins ma langue à mes lèvres. Elle se tortille, elle gémit, son minou coule de plaisir et moi je le savoure. Marie est délicieusement belle mais aussi délicieuse, cette femme me fait fondre. Je suis extrêmement dur, je transpire tellement elle me donne chaud. Je suis obnubilé par son corps, par ses cris, j’ai envie de la dévorer et je le fais déjà en parti. J’ai envie de l’étreindre tellement fort. Je continu mon cuni, j’accélère les mouvements sentant qu’elle se tortille de plus en plus, entendant qu’elle laisse sortie des cris de plus en plus fort. Mes coups de langues sont appuyés et rapides et Marie ne tarde pas à jouir pour la première fois avec moi. Je profite de ce moment et de ce qu’elle me donne, une fois bien savourer je remonte à non niveau non sans laisser au passage au pied du canapé mon pantalon laissant apparaitre sans équivoque sous mon boxer une bosse. 

    Je l’embrasse, nous nous embrassons tout en nous caressant, elle m’avoue être gêné. Je lui demande de pourquoi est-elle gênée et elle me dit à cause de ses cris, je l’arrête de suite pour lui expliquer que je préfère les femmes qui extériorisent leur plaisirs que celles qui ne disent rien. Sans rien dire de plus elle se jette sur moi en m’embrassant et en me faisant basculer sur le dos. 

     Je crois qu’elle a décider de prendre le dessus, c’est elle cette fois-ci qui me couvre de bisous, qui fait parcourir mon corps de ses mains. Je frisonne de plaisir, je me tortille, je transpire tellement j’ai chaud, mes mains sont moites. Elle descend le long de mon torse avec sa langue puis elle parcourt mon ventre pour arriver au niveau de mon boxer, elle ne perd pas de temps et l’enlève illico découvrant mon sexe bien droit. je bande depuis le début, depuis que je lui ai ouvert le portail et qu’elle est descendu de sa voiture. Encore plus depuis que je l’ai littéralement découverte. Elle semble un peu surprise mais ravi aussi au vue du sourire qu’elle m’a lancé. 

    Elle commence d’abord pas bisouter mon pubis, elle tourne autour de mon intimité, ses mains jouent un peu avec et finalement elle l’embrasse goulument. Elle prend ma verge en bouche et fais des va et viens énergiques puis plus doux, je crois qu’elle a trouvé mon point sensible. A ces lèvres elle joint ses mains, l’ensemble me procurent une fellation divine, tellement divine que je suis au bord de l’explosion et je pense qu’à mon attitude elle l’a compris également. Elle s’arrêta donc pour revenir à mon niveau puis elle s’allongea à mes coté et m’invita sur elle. Elle m’avoue à ce moment la qu’elle souhaite que je lui fasse l’amour, je m’exécute donc avec plaisir. 

     Doucement je la pénètre, je vais jusqu’au maximum puis j’entame des allers retours en elle, je la couvre de bisous car je souhaite que cette première fois ensemble soit notre premier souvenir intime. Je continue à la pénétré et je sens bien que son plaisir monte, j’embrasse ses merveilleux seins dont les tétons sont dures comme pas possible. Je joues avec eux, je fais tourner ma langue autour, Marie se tortille, Marie se raidi. Elle gémis de plus en plus fort, elle cris qu’elle va jouir. Pour ma part je me retiens depuis maintenant un moment déjà donc je lui dis que moi aussi et alors que nous nous embrassions nous avons jouis ensemble. Nous nous sommes embrassé encore plus fort à ce moment la, puis je me suis laissé tomber sur elle et je l’ai serrer si fort contre moi qu’elle ne devait avoir du mal à respirer. 

     

     C’était notre premier câlin, la première fois que nous découvrions nos corps et cette découverte fût merveilleuse. Nous n’arrêtions pas de nous embrasser, de nous caresser, nous ne nous quittions plus des bras de l’un de l’autre. Nous n’avions simplement plus envie de nous quitter.

    aucun commentaire
  •         C’est dimanche et comme une fois par mois je suis de garde. Je prend mon poste à 8h. Cela fait 1 semaine que je n’ai pas vue ma chérie, elle me manque et il semblerait que je lui manque également. 

    Le local est composé d’une kitchenette avec table et chaises et d’une chambre à coucher avec 2 lits de camp. Avec mon collègue nous prenons possessions des lieux pour la journée. Nous vivons un café, je textotte avec ma chérie qui me dit que si elle pouvait elle passerai bien me voir au local. Dans la vie tout est possible mais le risque c’est que je doive partir quand entre temps. On se dit qu’on verra bien dans la journée.

             Il est 10h toujours pas de sortie à l’horizon. Mon collègue me demande s’il peut passer voir sa famille, je lui dis que bien entendu il peu vue qu’ils sont dans le secteur mais qu’il rets bien joignable. Je me retrouve donc seul au local. Ma chérie me propose de venir et que si je dois partir elle m’attendra. Je lui donne l’adresse et la voilà qui arrive 30 minutes plus tard.

            Nous enlaçons longuement, nous embrassons longuement également. Nous sommes heureux de nous retrouver enfin. Je lui propose un café elle accepte. Nous en buvons un tout les deux, enlacés. Mes mains la caresse, je l’embrasse dans le coup, je la couvre de bisous.

    Mes mains commence à parcourir son corps, les siennes aussi. Elle me fixe du regard. Je l’invite à me suivre et l’emmène dans la chambre où se trouve les lits. Surprise elle me stop et me demande pour mon collègue, je lui répond qu’il est parti voir sa famille et que je l’appelle si on doit partir donc nous sommes tranquille tout les deux. Nous allons pouvoir rattraper tout cette semaine pendant laquelle nous ne nous sommes pas vue.

               Je lui enlève son sweat, puis son t-shirt laissant apparaître un magnifique soutiens gorge noir et rouge. Tout en l’embrassant dans le cou je dégrafe ce sous-vêtement qui couvre cette poitrine que je m’empresse d’embrasser.

    Je m’attarde un peu dessus suçotant des tétons très durs. Je sens son corps tressauter, ces mains cherchant à me déshabiller également. Elle attrape mon visage, m’embrasse et tout en me fixant droit dans les yeux me dit « fais moi l’amour »

    Tout en s’approchant d’un lit elle enlève pantalon, culotte je la suis en faisant de même. Elle s’allonge sur le lit, m’invite à la rejoindre. Je m’allonge sur elle, j’ai envie de la pénétrer mais j’ai envie avant de dévorer son intimité car lui aussi m’a manqué. 

     Tout en la couvrant de bisous je me rapproche de son minou, je pose ma langue dessus. Elle tressaute, lâche un petit gémissement. Je la sens déjà humide à souhait, elle m’avait dis qu’elle avait envie de moi et je le sens. Je savoir son jus tout en m’amusant avec son clito. Je lui donne des coups de langue, je l’aspire. Ma chérie gémis de plus en plus, se crispe de plus en plus. J’accélère le mouvement et avec un cri à peine retenu je la sens jouir. Un flot de cyprine envahi ma bouche. Je m’en délecte, je n’en laisse aucunes gouttes. 

               Elle m’invite à remonter à son niveau et m’embrasse fougueusement. Son baiser en dit beaucoup donc naturellement je présente ma verge à l’entrée de sa chatte. Je me rapproche doucement puis une fois contre l’entrée je commence à forcer pour enfin la pénétrer mais elle m’arrête et me repousse sur le dos.

    Elle s’installe sur moi et droit dans les yeux me dis « tu t’es amusé avec ma chatte à moi de m’amuser avec ta bite » aux paroles elle joignit le geste et sans attendre pris ma verge en bouche pour commencer une pipe des plus agréable. Elle commença comme à son habitude pas faire des vas et viens avec sa bouche sur cette queue toute dure. Me sentir dans sa bouche chaude et humide qu’elle bonheur. Elle s’arrête de temps en temps pour jouer avec sa langue sur mon gland, puis fait parcourir sa langue le long de mon membre jusqu’à arriver aux bourses. Celle-ci elle en prend soins, elle les lèche, les mange délicatement tout en branlant ma verge avec ces mains.

                 Je n’en peux plus je vais jouir, je lui dis. Elle arrête tout. Elle s’installe à 4 pattes sur le lit et me dit « je veux te sentir jouir en moi, je veux jouir avec toi, prend moi en levrette » 

    Je me met donc derrière elle pour entamer une levrette bruyante, bandante, mouillante mais surtout jouissante.

    Nous n’avions pas fais l’amour depuis tellement de jour que nous avons joui tout les deux rapidement mais ensemble. 

     

                  Nous nous écroulons sur ce petit lit l’un dans les bras de l’autre et continuons à nous embrasser longuement. Nous profitons de ce moment de retrouvailles, nous le savourons.

    aucun commentaire
  •          Enfin le week-end, nous sommes samedi et ce soir un ami vient boire l’apéro. Nous préparons des petits encas avec ma femme. Dix-neuf heure est vite arrivé, on sonne à la porte, c’est mon pote. 

    Il faut que je précise que nous nous connaissons depuis 20 ans, nous avons passer notre scolarité ensemble, première boîte ensemble.... bref nous avons grandi ensemble. 

              Nous nous installons donc pour boire l’apéro, nous discutons du passé, des derniers potins. Nous commençons à avoir quelques grammes d’alcool mais il sait que s’il ne se sent pas de reprendre la route il peut rester dormir. La soirée avance ma femme met de la musique en fond sonore, tout se déroule parfaitement. Le repas mijote ça sent bon. 

    Ma femme s’était habillé avec une petite jupe sous laquelle elle portait des collants résilles, pour le haut elle avait un décolleté sous lequel je savais qu’elle portait le dernier ensemble string sous tif rouge et noir en dentelle. 

              Nous nous installons à table, je file au toilettes avant le repas, ma femme se dirige vers la cuisine pour préparer les assiettes. Je sors des toilettes, me dirige vers la cuisine pour me laver les mains et ce que je découvre me surprend énormément. Ma femme est appuyé contre la cuisinière, collant sur les chevilles, jupe remontée sur les hanches. Mon ami est à genoux la tête entre les cuisses de ma femme. Cette vison est déroutante mais aussi extrêmement excitante. Il lui mange le minou, ma femme lui enpoigne la tête. Je l’entends gémir. Je me rapproche et l’embrasse. Je demande à mon ami si la charte de ma femme est bonne, en guise de réponse j’ai un pouce levé. Ma femme attrape ma queue dans mon pantalon et commence à me branler. Je suis déjà extrêmement dur. 

    Je crois que le repas attendra un peu.

              Ma femme joui une première fois. Je demande à mon pote de se relever, je me met à genoux devant lui et commence à lui procurer un pipe avec force et engouement, ma femme me rejoint. Nous le suçons à deux. Il a une queue magnifique, elle est excellente. Nous la savourons.

    Ma femme me chuchote à l’oreille qu’elle souhaite être prise contre la cuisinière par mon pote. Elle se relève, prend appuie contre cette cuisinière, cambre son cul et présente sa chatte à mon pote. Il me regarde avec ses yeux interrogateur, je lui fais signe de s’occuper de ma femme. Il ne se fait pas prier. 

               Je vois sa queue entrer doucement dans la chatte dégoulinante de plaisir, il commence ces cas et viens tant attendu par ma femme. Elle est déjà au bord de l’explosion, elle ne retiens aucuns cris, elle se laisse aller. 

    Moi de mon côté je me suis assis sur une chaise pour profiter du spectacle en me branlant. Mon pote accélère ces coups de reins, ma femme cris de plus en plus fort. Nous approchons tout les trois de la jouissance. Ma femme joui la première.

                 Elle s’agenouille rapidement, prend nos queues en main et les branlent fermement tout en ouvrant grand la bouche. Elle veut accueillir notre semence, nous lui faisons ce cadeau et lui donnons tout notre jus. Elle nous savoure, nous lèche longuement histoire de n’en laisser aucunes gouttes. 

    Nous nous réajustons, j’embrasse ma femme, elle attrape mon ami qui se dirigeait vers la table pour l’embrasser également et le remercier. Je le vois tout gêner, je le rassure de suite en lui disant de profiter.

     

                  Ce moment était irréaliste, nous en rediscutons à table. Ma femme nous avoue avoir adoré. Elle m’explique que c’est elle qui a allumé mon pote. Je lui demande de m’expliquer.

    Elle était en train de préparer les assiettes quand mon ami l’a rejoint dans la cuisine pour lui proposer son aide. Le repas n’avait pas fini de cuir lui a t-elle répondu. Il s’apprêtait à repartir quand elle l’attrapa pas là bras et l’embrassa fougueusement, il eu un geste de recul. Ma femme lui expliqua notre coté libertin et échangiste. Elle lui expliqua aussi que ça ne me dérangerai pas et qu’il devait se laisser aller.

    Il prit la parole pour m’expliquer que du coup il pris les devants et embrassa ma femme. Il laissa alors ses mains parcourir le corps de ma femme, corps qu’il m’avoua trouvé très joli. Il embrasse les seins de ma chérie et c’est à ce moment là qu’elle lui demanda un cuni.

    La suite je la connais.

                    Nous continuons le repas, nous rigolons, nous continuons à discuter de tout.

    Ma femme se baisse pour ramasser sa cuillère sous la table, rien d’anormal. Mais je sens quelque chose remonter le long de ma cuisse.

    Je sens une mains remonter le long de mes cuisses, mon pantalon de dégrafe. Ma femme est en train de me déshabiller. Je me recule pour regarder et aperçois son autre main en faire de même avec mon pote. Elle nous regarde, elle nous répond simplement qu’elle a encore envie de nous deux. Je dis à mon pote de se laisser aller et profiter, qu’il n’y a pas de soucis. Je propose qu’on aille dans la chambre. Ce sera notre pause avant le dessert.

                   Ma femme se déshabille, prend nos mains et se caresse avec. Nous l’embrassons, la couvrons de bisous. Je m’attarde sur son seins gauche, mon pote sur le droit. Elle nous caresse également. Nous sommes déjà bien dur à cause de l’excitation qu’elle a créée. 

    Elle s’allonge sur le lit et me demande de lui manger le minou, se que je me presse de faire. Elle demande la queue de mon pote. Nous voilà en train de mélanger nos corps. Moi en train de dévorer le minou de ma femme, ce minou déjà dégoulinant de cyprine. Je relève ma tête et voit ma femme savourer la queue de mon pote, elle y met toute son énergie. Je vois dans son regard qu’elle s’éclate. Son corps se crispe d’un coup et elle joui telle une fontaine dans ma bouche. J’invite mon pote à venir en profiter avec moi. 2 langues pour ma femme, elle m’avait une fois avouer en avoir rêver, son rêve se réalise. 

                  Ma femme nous avoue une chose, elle souhaiterai voir mon ami et moi nous amuser ensemble. Nous nous installons donc en 69 et faisons profiter du spectacle à ma femme.

    Il va de sois qu’elle ne reste pas sans rien faire. Elle s’installe à côté de nous, cuisse bien écarté et s’attelle à une masturbation qui l’a met dans tout ses états.

                  Mon pote et moi continuons de nous sucer mutuellement, il a une queue exquise. Pas trop large ce qui permet de bien entrer en bouche, pas trop longue ce qui me permet d’en profiter pleinement.

    Je sens sa bouche sur ma queue, je sens qu’il savoir ma verge aussi. Nous ne nous étions jamais avoué être bi, c’est une découverte pour tout les deux.

                 Ma femme nous rejoins, elle demande à mon pote s’il accepte que je lui mange son petit cul. Il accepte et s’assoit donc sur ma bouche, il écarte ses deux belle fesses. Je pose ma langue sur sa rondelle, je la sens s’ouvrir immédiatement. Mon pote doit être sacrément excité. Quand à ma femme, elle s’installe sur ma queue fasse à mon pote et fais des vas et viens sur moi. Ma langue pénètre la rondelle de mon pote pendant que ma verge, elle, pénètre ma femme. Ma queue est ultra lubrifiée par la jouissance de ma femme. 

    Je crois que ma femme veut profiter de cette soirée à fond. Elle demande droit dans les yeux de mon pote s’il accepte de s’assoir sur ma queue. J’ai l’impression d’être leur objet. Il lui répond qu’il aimerait beaucoup. Il aimerai me sentir jouir en lui. Cette soirée est vraiment surprenante et pleine de révélations. Elle se défait de mon membre et laisse mon pote s’installer fasse à moi, prenant ma queue en main il la dirige vers l’entrée de son cul. Tout doucement le voilà la faisant entrer en lui.

                  Pendant qu’il commence à se sodomiser avec ma queue ma femme, elle, s’assoit sur mon visage pour me donner son minou. Je lui bouffe donc sa chatte pendant que mon pote s’amuse sur ma queue. Cette dernière glisse sans résistance, mon pote est totalement ouvert. Surprenant mais très excitant. Ma femme me joui sur le visage. 

    Elle se couche maintenant sur moi, m’offrant ses deux merveilleux seins que je dévore avec plaisir. Elle prend la queue de mon pote en bouche, le regarde droit dans mes yeux et lui intime l’ordre de donner toute la semence qu’il reste en lui. Il lui répond qu’il va le faire mais qu’on veut que moi j’innonde son cul avec la mienne. Je répond que je vais le faire et d’ici peu de temps. 

    Il accélère le rythme avec son cul, ma femme accélère le rythme avec sa bouche y ses mains. Je me crispe et envoie toute la sauce dans le cul de mon pote. Quand à lui et bien il en fait de même dans la bouche de ma femme.

                    Je demande à ma femme de venir à mon niveau pour que nous en profitions tout les deux. Enfin mon pote nous rejoins et nous nous embrassons tout les 3. Essoufflé, satisfait, nous nous allongeons les uns à cotés des autres. Ma femme s’installe entre nous, ses mains posées sur nous. Elle nous embrasse tour à tour puis se blotti dans mes bras tout en invitant mon ami contre elle. Nous reprenons nos esprit avant d’aller manger le dessert préparé par cette merveilleuse femme.

     

                     Nous voilà de retour à table pour savourer un Tiramisu maison. Nous discutons de cette soirée, de nos bisexualité..... ma femme nous dis qu’elle avait rêvé d’une soirée comme celle-ci depuis très longtemps. Elle se lève et nous propose un café et un digestif, ce que nous acceptons. Mon pote et moi allons nous installer sur le canapé pour voir ce café et ce digestif. Ma femme part donc à ma cuisine préparer le café et apporter de quoi voir le dijo. 

    Alors que nous discutions, les mains de mon ami devinrent plutôt tripoteuse. Je comprend qu’il voulait de moi, je le laisse donc faire. Ses mains glosent le long de mon corps pour atteindre ce qu’il cherche, ma verge déjà bien dure. Il commence tout d’abord par me branler un peu mais comprend que vu ma duretés il n’y avait pas beaucoup besoin de me stimuler. Il pris donc place à genoux la tête entre mes cuisses. Mes habits disparurent aussi vite que sa bouche se posa sur mon gland. 

    Il se mit à me sucer, lécher ma queue de haut en bas, de bas en haut, descendit jusqu’à mes bourses qu’il aspire, qu’il suçote. Il me regarde dans les yeux et je comprend qu’il prend son pied à me bouffer la queue. Après s’entre bien rassasié de ma queue il me relève les cuisses et commence à me bouffer le cul. 

                    Je ne connaissais pas cette langue mais ce con est vraiment très bon. Sa langue me fait monter au septième ciel. Mon cul s’ouvre comme jamais. J’aperçois au loin ma femme qui nous matte. Je lui fais signe de nous rejoindre. Elle fait tomber ses vêtements à nouveau et viens. Pendant que mon pote me bouffe le cul, elle s’occupe de ma queue. Je suis en train de me faire bouffer le cul pendant que ma femme me suce la queue quel plaisir. Voyant ma rondelle s’ouvrant toute seul, j’invite mon pote à me prendre.

    Je relève mes cuisses et lui présent mon cul. Il pose son gland à l’entrée de ma rondelle et commence à appuyer. Elle rentre sans résistance c’est dire mon excitation. Il entame une pénétration longue et douce. Un vrai délice.

    Il me ramone pendant que ma femme m’offre son minou débout au dessus de mon visage.

                    Je les stop. J’installe ma femme à quatre pattes devant moi, je rentre ma queue d’un coup sec dans sa chatte et commence à la prendre en levrette. Dans le même temps j’invite mon pote à me sodomiser. Il revient en moi et nous voici tout les 3 en train de baiser. Mon pote accélère le mouvement en moi, ma femme cri sous mes coups de reins. Il nous dis qu’il va jouir je l’invite à le faire dans mon cul, et je le sens donc se reprendre en moi. C’est chaud, bizarre mais agréable. 

                    Il se retire, s’assoit à côté de nous. Il essuie sa queue. Moi je continue à baiser ma femme. Ma femme se tourne pour prendre mon pote en bouche. Elle commence par l’embrasser puis très vite descend prendre sa queue encore dure en bouche. Elle arrête mes coups de reins. Elle écarte son cul et me demande de la sodomiser aussi. Je pressente donc ma verge à l’entrée de son cul. C’est elle qui d’un coup sec la fait entrer. Je commence donc à la sodomiser d’abord doucement mais très vite elle me demande de la sodomiser sauvagement. Je m’attelle à lui faire plaisir alors j’y vais avec force. Cette sodomie dure 5 bonne minutes quand j’explose en elle. Mon pote lui a encore éjaculé, et il a tout donné à ma femme qui s’en délecte.

     

                  Nous reprenons une fois de plus nos esprits et buvons nos café et digestif. Cette soirée est vraiment très chaude.

     

    aucun commentaire
  •  Il est dix-huit heure, j’ai fini le travail et je suis déjà rentré à la maison. Je l’attelle à faire la vaisselle de la veille. J’ai des écouteurs sur les oreilles pour écouter de la musique en même temps.

         À un moment je sens des mains de poser sur mon torse. Je baisse la tête et reconnais celles de ma chérie. Je ne l’ai pas entendu entrer avec les écouteurs dans mes oreilles. 

    Elle m’embrasse dans le coup, ces mains parcours mon torse, puis descendent le long de mon ventre. Ses doigts écartent le pantalon de survêtement que je porte. 

    Sa bouche continue à couvrir mon cou de bisous, elle me lèche également les lobes d’oreilles ce qui a pour effet de me faire frissonner de plaisir. Elle me plaque contre l’évier ce qui a pour conséquence que je ne peux bouger. Je la laisse donc faire. 

           Elle m’enlève les écouteurs des oreilles et me dis de me laisser faire. Elle me signifie également qu’elle a très envie de moi. 

    Ses mains font tomber mon pantalon, immédiatement suivi par mon boxer. Elle enlève le t-shirt que je porte également. Je me retrouve nu dans la cuisine. 

             Elle pose ses mains sur mon sexe déjà bien droit et commence à le branler. Elle alterne rapidité et douceur. Au bout de 3 bonnes minutes elle s’arrête. Ma chérie attrape mes poignets et les positionnes dans mon dos. J’entends des clics, des clacs. Elle me menotte les mains.

    Ma chérie me retourne, met un doigt sur mes lèvres et me demande de ne rien dire. Je me retrouve assis sur une chaise, nu, la queue bien droite. Elle se positionne devant moi, met de la musique genre 50 nuances de Grey et commence un strip tease. 

             Elle se met dos à moi, approche son merveilleux derrière de mon torse pour l’y frotter. Puis elle le remonte contre mon visage. Quel moment stupéfiant. Elle se redresse et dans un geste sensuel dégrafe son chemisier laissant apparaître une poitrine dénué de soutiens gorge. Cette poitrine est vraiment magnifique. J’aperçois ses tétons dressés dans ma direction. Elle recommence à se déhancher devant moi, je n’en peux plus j’ai envie de la prendre sur la table qui est à côté de moi mais je ne peux pas bouger. Je profite donc du spectacle. Maintenant elle fais tomber la jupe qui ne cache qu’un petit string. Une fois cette jupe tomber elle vient se frotter à moi.

               Commençant par me mettre des seins devant la bouge, m’intimant l’ordre de les sucer, de manger ses tétons. Ce que je fais avec plaisir. Pendant ce temps là son bassin se frotte sur le mien. Elle se redresse à nouveau.

    Une fois debout devant moi elle se penche dos à moi et fait glisser son minuscule string et fini par me faire coller à travers ma pièce. Elle me retourne face à la table. Que veut-elle?

     

              Je me retrouve donc face à la table, mains attaché dans le dos, assis sur une chaise nu dans la cuisine. Elle vient s’assoir nu sur moi, elle se frotte à moi. Je sens ma queue faire des vas et viens entre ses lèvres intimes, elle est déjà trempée de plaisir et par la même occasion humidifie fortement ma queue bien dure. Elle sent que je vais exploser, elle voit que je ne tiens plus. Me fixant droit dans les yeux elle s’installe à genoux devant moi et me suce. Elle fais des vas et viens avec sa bouche sur mon gland, elle avale ma queue jusqu’à ma garde, joue avec. Elle voit dans mes yeux que je vais arriver alors alors elle entreprend de me branles fermement jusqu’à ce que j’explose dans sa bouche. Elle n’en laisse aucunes gouttes. Madame savoure, profite de ce jus. Une fois s’être bien délecté elle se remet debout devant moi, me rapproche de la table. Elle monte dessus, s’y couchant même sur le dos. Cuisse sur mes épaules et me pose son minou devant ma bouche. J’ouvre grand cette dernière, sors ma langue et commence un de ces cunis que j’affectionne tant. J’alterne entre jeux de langue avec son clito et pénétration de ma langue dans son vagin qui dégouline de jus. Je bois tout le jus que son corps me donne et quel délice. Déjà 10 bonnes minutes que je mange son minou, son corps se raidi de plus en plus, elle a de plus en plus de soubressauts. J’entends ses gémissements de plus en plus fort, je pense qu’elle ne va pas tarder à jouir j’accélère donc la cadence de mes coups de langue.

    Ses mains s’accroche à la table, son corps devient raide, ses fesses se soulèvent de la table, elle est en train de jouir non sans lâcher un cris que j’apprécie fortement entendre. Je sens arriver sur ma langue, dans ma bouche un flot de liquide chaud. J’en profite et m’en délecte avec plaisir.

     

              Nous avons donc joui tout les deux mais sans se pénétrer. Nous avons tout les deux jouis simplement avec des jeux de mains et des jeux de langue. C’est très agréable et j’aime beaucoup. Je demande donc à ma chérie de me détacher, sa réponse traîne pas. Elle répond que non ce n’est pas fini, elle m’explique que maintenant elle veut me sentir en elle. Elle joint les gestes aux paroles en s’asseyant sur moi, en prenant bien soins de faire rentrer ma queue en elle.

    Me voilà donc toujours attaché, nu sur une chaise au milieux de la cuisine. Ma femme assise sur moi en train de faire des vas et viens sur ma queue. Elle y met toute l’ardeur qu’elle peu, ses fesses claquent sur mes cuisses. Elle se caresse le clito pendant que ces pénétrations sont de plus en plus intenses. Elle cris, elle accélère le rythme, mon corps se crispe je vais jouir. Je lui dis, elle me répond que j’ai interdiction de jouir maintenant car elle veut qu’on jouisse ensemble. Alors j’essaye de retenir ma semence.

    Elle accélère encore le rythme, la chaise va t’elle supporter la puissance de ses coups de reins. Je l’espère. 

    Elle cris de plus en plus fort, je sens sa cyprine couler le long de ma queue, continuer sur mes bourses pour finir certainement sur la chaise. 

     

               Ça y est je l’entend me dire qu’elle joui alors je relâche mes muscles et me repens en elle. Elle m’enlace essoufflé ma queue toujours au plus profond d’elle. Elle m’embrasse de partout. Elle me dit qu’elle ne veut pas se lever car elle aime sentir ma queue en elle après avoir joui. Restons donc un peu comme ceci. Ce n’est que le début de soirée mais surtout c’est le week-end.

     

    aucun commentaire
  • Nous sommes dimanche, il faut un temps printanier. Soleil et chaleur sont au rendez-vous. Avec ma femme nous décidons d’aller nous promener en forêt.

     

    Chaussures de marche au pied, tenue ne craignant rien enfilée nous prenons la route des sentiers.

         Nous ne connaissons pas le sentiers sur lequel nous nous sommes engagé, nous marchons mains dans la mains, nous discutons de tout de rien, nous refaisons le monde tout en profitant des beaux paysages s’offrant à nous. Nous croisons d’autres randonneurs.

    Nous voilà bien parti dans chemins, la forêt. Nous entendons au moins des bruits, normal nous ne devons pas être seul à randonner. Les bruits se font de plus en plus fort au fur et à mesure que nous nous approchons. Je début nous avions pensé à des animaux mais une fois assez près pour voir nous découvrons que ce ne sont pas des animaux.

    Nous restons discret pour ne pas nous faire repérer, nous faire voir. 

    Ce que nous voyons nous surprend. Nous n’en revenons pas. Surpris mais nous aimons ce que nous voyons.

            À travers les arbres nous apercevons un couple en train de faire l’amour. La femme est sur l’homme, à califourchon en train de faire des vas et viens, le corps légèrement en arrière, les mains de l’homme lui palpant ses seins. Nous nous regardons avec ma femme, nous esquissons un sourire. Nous nous sommes compris, nous n’allons pas bouger et profiter du spectacle. C’est excitant, je suis dur, ma femme doit être trempé. Nous entendons la femme prendre sont pied. Elle accélère le rythme, je pense qu’elle va jouir et effectivement au vue de son cris, de la crispation de son corps elle dû jouir. 

    Je vois ma femme en train de se caresser, elle ne me voit pas la regarder. Elle est subjuguée par le spectacle.

    Le couple se redresse. La femme se positionne à 4 pattes, l’homme se met derrière elle. C’est vraiment un beau couple. Je commence à me caresser. 

    Ils sont là, devant nous. L’homme est à genoux derrière la femme. D’un coup c’est elle qui vient s’empaler sur la queue de l’homme. Lui ne bouge pas. Elle se donne des gros coup de reins. L’homme laisse faire.

    Elle gémit. 

    J’entends à côté de moi la respiration de ma femme s’accélérer, elle doit être au bord de la jouissance également. Une de ses mains se pose sur sa bouche et je l’entend jouir. Ce spectacle est merveilleux. Ma femme se caressant, jouissant pendant qu’un couple baise devant nous sans savoir qu’ils sont épiés. 

    Ma femme sort sa main de sa culotte, je l’attrape et lui lèche, je veux profiter de son plaisir. Elle me demande en chuchotant que j’avais joui, je lui répondis que non. 

    Nous regardons à nouveau le couple. L’homme a attrapé la femme pas les hanches et lui donne des coups de reins monstrueusement puissant. Nous l’entendons gémir, nous la devinons au bord de l’explosion. L’homme ne doit pas être loin d’exploser également. 

    Ma femme me demande de ne pas bouger et d’admirer le spectacle. Elle m’enlève mon pantalon et mon boxer et commence une fellation divinement bonne. Le spectacle est surréaliste, je regarde un couple faire l’amour en forêt tout en me faisant sucer par ma femme. Je retourne à mon spectacle.

    L’homme accélère les coups de reins, il attrape la femme par les cheveux. Ses coups de reins sont d’une intensités inouïes mais elle a l’air d’adorer. Ça y est il se retire, a t-il joui?

    La femme se retourne et le suce vigoureusement, j’en déduis que non. Ma femme me suce de plus en plus vigoureusement également. Ça y est il joui, elle prend tout en bouche, je la voies s’en délecter. Ce doit être une sacrée cochonne.

    Moi aussi je vais jouir, ma femme le sent. Elle accélère le rythme jusqu’à me sentir exploser dans sa bouche. Elle me regarde droit dans les yeux, ferme la bouche et avale puis elle se remet à me lécher pour me nettoyer. 

               Le couple est en train de se rhabiller, nous en faisons de même. Et nous reprenons ensuite notre promenade non sans les croisés. Nous les saluons tout en ayant ce spectacle irréaliste en tête. 

    Ma femme m’attrape ma mains, nous marchons amoureusement à travers les bois. Au bout d’un moment ma femme me dit quand même être resté sur sa faim tout à l’heure. Je lui avoue que moi aussi. Mais quelle idée a t-elle en tête?

     

     

              Nous nous promenions, continuions notre promenade avec cette scène surréaliste en tête. Ma femme s’arrête et me dis de patienter 2 minutes. Je la vois s’éloigner puis disparaître derrière des arbustes. Je me dis qu’elle avait une petite envie à satisfaire. Au bout de 2 minutes elle revient vers moi, prend ma mains droite et y pose sa petite culotte en dentelle rouge. 

    Je suis surpris, la regarde et lui demande pourquoi cela. Elle me répond d’en faire ce que je veux, de comprendre ce que je veux. 

    Nous continuons notre route mais j’ai bien compris ce qu’elle voulait me dire avec cette culotte enlevée. Elle était vraiment resté sur sa faim. 

              Treize heure approche nous décidons de nous arrêter pour casse-croûter. Je sors le repas du sac à dos, nous sommes assis sur un tronc d’arbre mort. Elle m’arrête pour me dire qu’elle a une autre faim à satisfaire. Je ne dis rien et la laisse faire.

    Elle s’agenouille devant moi, enlève mon pantalon et mon boxer. Mon boxer est extrêmement tendu déjà. Tout en me regardant droit dans les yeux elle s’attelle à une fellation 100% nature. Je vois une de ces mains descendre jusqu’à son entre jambe pour caresser son minou. Minou que j’imagine déjà humide à souhait.

    Je suis tellement excité depuis tout à l’heure que je lui offre toute ma jouissance. Elle apprécie et s’en délecte mais me dis qu’elle en veut plus. 

    Elle se relève, sort la couverture que nous avions prévue pour manger. Elle prend place dessus pantalon enlevé, cuisse bien écarté et me demande de lui manger le minou. 

             Je ne peux refuser un cuni à ma femme, son minou est tellement délicieux. Je l’installe donc entre ses cuisses pour me délecter de son intimité déjà humide à souhait. Je m’attarde un peu sur son petit bouton rose, celui-ci est dur comme rarement je l’ai vu. Elle se tortille, étouffe des cris. Je sens qu’elle va exploser alors j’enfonce ma langue entre ses lèvres et comme attendu elle explose dans ma bouche. Son jus s’écoule en flot, c’est délicieux. Je la laisse reprendre ses esprits.

    Elle s’installe maintenant à quatre pattes. Je commence donc à la prendre en levrette tôt en lui caressant le clito. Elle adore être stimulé par un massage clitoridien tout en étant prise en levrette. Alors que je m’attelais à l’emmener à la jouissance elle me demande de la prendre aussi sauvagement que l’homme que nous avons vue plus tôt.

    J’accélère donc le rythme, je la pénètre plus fortement. Je sens que je vais jouir, je le lui chuchote à l’oreille. Elle me répond qu’elle aussi. Elle veut me sentir exploser en elle, en même temps qu’elle.

    Ce moment arrive rapidement. Je me répand en elle, elle explose sur ma verge. Je sens ce mélange de jouissance couler le long de ma queue. Je me retire et elle entreprend de le nettoyer. Je la regarde me lécher comme si elle mangeait une glace.

    Cette ballade est décidément pleine de surprises.

     

     

     

     

     

           Notre arrivions à la fin de notre promenade et allions entrer dans notre voiture quand un couple nous aborde. Ils se présentent Isabelle et Geoffrey. Ils nous expliquent qu’ils nous ont vue dans les bois, ils avouent un peu gênés nous avoir regarder. Nous leur expliquons qu’ils n’ont pas à être gêné. Nous discutons un peu et Isabelle avoue qu’elle trouve ma femme très charmante et aimerait beaucoup pouvoir faire plus ample connaissance. Nous leur proposons de nous suivre chez nous pour faire plus ample connaissance.

    Nous voilà donc autour d’un verre chez nous, nous discutions, faisons connaissance, nous nous rapprochons. Isabelle et ma femme semblent de plus en plus proche. Elles se touchent, se caressent. Ma femme lui propose de s’installer dans notre chambre pour être mieux. Nous les suivons mais une fois dans la chambre elles nous stop. « Vous ne touchez pas, regardez nous » nous disent-elles.

    Avec Geoffrey nous somme surpris mais acquiesçons. 

            Voilà ma femme et Isabelle, inconnue il y a encore 2h, nues sur le lit en train de s’embrasser, se caresser. Isabelle prend les devant et commence à pratiquer un cuni à ma femme, cette dernière a l’air de vraiment apprécier. Geoffrey et moi profitons du spectacle non sans se caresser. Ma femme invite Isabelle en 69 pour également profiter de son corps. 

    Ce spectacle est vraiment surprenant et irréaliste. 

    Je regarde Geoffrey, sa queue bien dure en main. Je me rapproche de lui, je m’agenouille. Il se laisse faire et m’offre sa queue. Je le suce, je le gobe, lui lèche les bourses. Les femmes d’un côté, nous de l’autre. J’entends les femmes jouir ensemble dans un cris commun. Je les aperçois nous observer. 

             Elles nous observent longuement. Geoffrey explose sur moi. Je sens son jus chaud sur mon torse. Il s’excuse. Je l’arrête de suite et lui explique qu’il n’a pas à le faire bien au contraire. Ma femme vient me lécher le torse puis elle attrape la queue de Geoffrey pour lui redonner toute sa vigueur. Ce qui ne tarde pas à arriver.

    Isabelle demande à la femme si elle est autorisée à s’occuper de moi. Ma femme lui répond que bien évidemment elle en a le droit. 

    Je vois donc arriver Isabelle à ma hauteur, m’embrasser puis descendre jusqu’à ma verge. Elle la gobe d’un coup. La voilà qui commence à me sucer. Elle me suce pendant que ma femme suce Geoffrey. La scène vue de l’extérieur doit ressembler à un film X.

               J’aperçois la queue de Geoffrey bien dure, la mienne est dans le même état. Les deux femmes s’installe sur le dos, jambes bien écartées et nous invitent à les dévorer. Nous ne nous faisons bien entendu pas prier et chacuns dévorent la charte de la femme de l’autre. Isabelle est trempée, elle crie. Ma femme crie aussi, j’imagine que Geoffrey s’en occupe très bien et qu’elle doit être trempé également. Nous nous faisons plaisir à les lécher, sucer, manger. Elles gémissent de plaisir. Puis dans un râle commun elles jouissent chacune dans nos bouches.

    Elle ne veulent pas perdre de temps alors elles nous demandent de les pénétrer rapidement. On dirais 2 sœurs jumelles. Elles s’embrassent, se caressent pendant que nous leur faisons l’amour. J’embrasse ma femme, j’embrasse Isabelle. Geoffrey en fait de même. Ce mélange des corps est tout simplement divin. L’excitation étant à son paroxysme je m’apprête à jouir mais Isabelle souhaiterais me goûter alors elle s’installe vite à quatre pattes pour m’avaler. Je lui donne tout. 

    Je vois que ma femme est dans la même position et que Geoffrey s’apprête également à exploser dans la bouche de la femme. Le voilà qui joui. Isabelle et ma femme s’embrassent à nouveau, elle s’échangent, mélangent nos semences. 

     

    Je remercie Isabelle et  Geoffrey qui en font de même. Nous nous installons nus les un contre les autres sur le lit et discutons un peu. Nous nous caressons. La journée n’est pas finis.

     

    2 commentaires


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique