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Par blacknono dans Mes histoires le 28 Février 2018 à 10:48
Je me prénomme Angela, belle quadragénaire brune aux yeux bleus d’un mètre soixante-dix. J’ai une poitrine 95b en forme de poire. Je travaille dans une compagnie d’assurance qui se trouve au dernier étage d’un grand immeuble de la région lyonnaise. Pour le travail je suis habille en tailleur, chemisier que je laisse volontairement décolleté, toujours chaussé de talons aiguilles surplombés de bas. J’aime me sentir sexy, me sentir envié et quand je vois le regard des hommes croisé dans la rue se poser sur moi ça m’excite au plus au point.
Au boulot je passe pour l’allumeuse de service mais je m’en fous j’ai 45 ans et je fais ce que je veux. J’ai eu plusieurs aventures au bureaux avec des collègues. Des plans rapides entre midi et deux dans un bureau vide, dans les toilettes pour satisfaire une envie pressante mais celle que je vais vous raconter jamais je ne l’aurais rêvée.
Comme tout les jours je fini ma journée de travaille vers 18h et comme tout les jours je prends l’ascenseur. Je monte dedans, nous sommes 3. Deux collègues hommes de 40 et 25 ans et moi. L’ascenseur descend du dixième étage où nous nous trouvons, neuvième étage, huitième étage. L’ascenseur s’arrête brusquement entre le huitième et le septième étage. Pas grave il va repartir, cela arrive de temps en temps. Nous attendons. Nous attendons 10 minutes, 20 minutes. Nous décidons de sonner. L’opérateur nous répond qu’il est déjà au courant de la panne mais que le technicien n’arrivera pas avant deux heures. Nous savons ce qu’il en est, prenons notre mal en patience.
Il commence à faire chaud j’enlève donc ma veste de tailleur, les hommes enlève leurs vestes de costumes. Cette chaleur me monte à la tête et je commence à m’imaginer pleins de chose. Les collègues qui sont avec moi je les connais bien, plusieurs fois ils m’ont fais des avances mais je n’y ai jamais répondu...... pour le moment tout du moins. J’ai bien vu leurs regards plonger dans mon bustier quand j’ai enlevé mon haut.
Personne ne parle mais j’aperçois des petites bosses naître au niveau de leurs entre jambes. Je décide de détendre l’atmosphère et de prendre les choses en mains. « Les gars vous avez toujours eu envie de moi, nous sommes bloqué dans cet ascenseur alors lâchez vous, ne soyez pas peureux »
À voir leurs regards médusés j’ai dû les surprendre alors je continue sur ma lancée et attrape celui qui est le plus proche de moi pour l’embrasser. J’invite l’autre à venir se coller contre moi, je pose ses deux mains sur ma poitrine et l’invite à me caresser. J’embrasse toujours l’autre tout en défaisant sa chemise. Son comparse avait passé les mains sous mon chemisier. Je sent ces mains parcourir mon corps, caresser ma poitrine, je fondait littéralement dans ma culotte en dentelle. Celui que j’embrassais toujours dégrafa avec attention mon chemisier et le posa dans un coin de l’ascenseur, son comparse qui était derrière moi et me caressais le corps en passant de mes seins à mon ventre mais en s’arrêtant au niveau de l’élastique de mon culotte dégrafa mon soutien gorge. Je me retourne, poitrine et ventre à nus, et embrasse ce second jeune homme. Tout en l’embrassant je lui défais sa chemise pendant que l’autre me caresse à son tour. Nous voilà tous torse nu mais cela ne me suffis pas j’en veux plus. Je prend les choses en mains car l’horloge tourne.
Mon côté dominante prend le dessus alors lâchons les rennes. Messieurs passons aux choses sérieuses, déshabillez vous frappement. Aller on enlève le peux de vêtement qu’il vous reste.
Médusés mais excités les deux charmants partenaires s’exécutent aussi tôt. Tout en les matant, je laisse tomber mon tailleur ainsi que ma petit culotte au sol. J’en choisi un au hasard, le plaque contre la parois et aussitôt je lui gobe le gland. Je sens ses mains se poser instinctivement sur ma tête pour me donner le rythme. J’adore cela. Ma croupe est bien en évidence pour l’autre convive qui n’ose pas bouger. Je comprend qu’il faut l’aider un peu alors je l’attrape par les mains, l’invite à se mettre à genoux pour avoir son visage au niveau de ma vulve et de mon cul et alors que je reprend le membre déjà bien dur de mon premier partenaire en bouche j’attrape ma tête du deuxième et vient plaquer son visage dans mon entre jambe. Je lâche cette merveilleuse queue que j’ai plaisir à sucer pour demander à notre petit jeune de me bouffer la chatte comme il en a toujours rêver. Oula quelle surprise ce petit con sait parfaitement y faire et sa langue me procure un plaisir immense. Je reprends la queue en bouche mais je me sens partir, oui cette chaleur si souvent ressenti monte en moi, elle traverse ma poitrine pour arriver au niveau de mon ventre. Je la sens me parcourir de l’intérieur, oui je vais exploser. Ho putain oui ça y est j’enfile cette queue que j’ai au fond de ma bouche au plus profond pour ne pas laisser sortir un bruit et je me répand dans ma bouche innocente de ce jeune qui en profite et à l’air de prendre son pied.
Je lui demande de ne pas arrêter et surtout de bien me lécher de partout ce qu’il fait divinement bien. Je sens sa langue parcourir ma chatte suivant mon entre cuisse jusqu’à ma raie. Je me sens ouverte aux autres vents et qu’est ce que c’est bon. En même temps je ne laisse pas mon premier partenaire sans rien car je le pompe avec intensité, j’ai envie qu’il m’envoi son fourre bien au fond de ma glotte alors je le suce en long en large, de haut en bas. Je lui dis que tout m’envoyer, je l’encourage en lui disant qu’il peut tout m’envoyer bien au fond de la bouche. Mes mains le serrent fort, mes lèvres son bien fermés contre sa verge. Je sens son corps se tendre, oui je sens le jus parcourir sa verge, me voila qui se déverse en moi. Ce jus épais, en quantité rarement vu, se répand dans ma bouche, je l’avale quel délice.
Je me redresse pour le laisse reprendre ses esprits et le retourne pour profiter du deuxième homme, plus jeune lui, que cette panne m’a permis d’avoir. «Ai-je un bon goût? Lui demandais-je » «Oui vous êtes délicieuse » « alors maintenant baise moi comme tu en as envie depuis longtemps »
J’ai envie qu’il me prenne en levrette là de suite. Alors ni une ni deux je me met à 4 pattes et l’invite à me prendre.
Je le vois se lever, queue bien raide, je l’arrête en attrapant cette dernière et lui dis « attend je vais te goûter moi aussi » et j’enfourne sa queue bien au fond de ma bouche et commence des vas et viens. De haut en bas en faisant parcourir les lèvres de bout en bout. Je le sens qui se retiens, que ça devient dur. L’autre à bien vue qu’il n’aura pas le temps de me prendre en levrette alors il se rapproche de moi et sans rien dire entre sa queue d’un coup sec dans ma chatte. J’adore ça quand on entre en moi avec fermeté.
Le pauvre jeune ne savait plus quoi faire alors je l’invite à se laisser aller « vas y lâche toi, donne moi tout ton jus, tu pourras me baiser après t’inquiète pas. » d’un coup je le vis se détendre et je senti son jus se déverser dans ma bouche. Il est exquis, sucré et épais comme je l’aime.
L’autre partenaire se faisait plaisir avec ma chatte en attendant, je mouillais comme rarement. J’entendais et sentais ses bourses taper contre mon pubis. J’étais envahi à nouveaux d’une vague de chaleur immense et je savais que j’allais jouir sous peu. Je repris mon petit jeune en bouche pour lui redonner de la vigueur et surtout pour étouffer les cris que je serai amener à émettre en jouissant. Jouissance qui arriva très rapidement. Tellement forte que j’en laisse une flaque par terre.
Je ne suis pas du genre soumise alors je reprend les choses en mains rapidement. Je stop mon partenaire le plus âgé qui était en train de me baiser plus sauvagement. J’allonge le jeunot au sol puis l’enjambe. Délicatement je dirige sa queue en moi. Je l’enfonce le plus profond possible, le voilà il y est. Je me baisse au niveau de sa bouche et commence à l’embrasser. Je l’embrasse longuement puis laissant tomber sa bouche je lui suçurre à l’oreille que je vais lui faire l’amour et l’emmener à la jouissance au fond de ma chatte car je veux que lui aussi en profite. Je me redresse, lui attrape les mains et l’invite à me caresser. Il est toujours au fond de ma chatte. Ses mains parcours ma poitrine puis mes hanches pour arriver sur mes fesses. De là je commence mes vas et viens. Je monte tout doucement jusqu’à la limite où sa queue sortirai de mon intimité puis je redescend et ainsi de suite. Je sens des mains agrippées fermement mes fesses pour me donner le rythme. Je me repenche donc sur lui et l’invite à me gober les seins, jouer avec mes tétons qui sont déjà extrêmement durs. Du coin du regard j’aperçois mon autre collègue se branler alors je l’invite à se rapprocher. Je reprend une fellation histoire de bien le chauffer pendant que le jeunot me fais l’amour.
Le jeunot justement accélère le mouvement, je sens qu’il se crispe, je crois qu’il va jouir encore une fois. Oui il me confirme en me disant qu’il allait jouir, il me lance un regard questionneur. Je comprend ce qu’il veut dire et lui dis « ne te pose pas de question et prend ton pied. Jouis » ce qu’il fait immédiatement. Nous arrivons au bout des deux heure et nous entendons des gens s’approcher de la porte.
« Messieurs dames encore 30 minutes le technicien est en train de tout remettre en route »
Utilisons ces trente dernières minutes intelligemment. Je me redresse pour me mettre à quatre pattes à côté du jeunot et lui nettoie la queue. En même temps j’invite mon deuxième baiseur à me baiser comme il le souhaite jusqu’à ce qu’il jouisse. Il ne se laissa pas prier et sans prendre de pincette m’enfourcha sur sa queue puis commença à le baiser violemment, comme j’aime aussi je l’avoue, pendant que je nettoie bien mon jeunot de ma langue. Au bout de 2 minutes mon autre collègue m’envoie toute la sauce au fond de ma chatte. Je me retourne pour le nettoyer.
Nous nous rhabillons rapidement et juste le temps de se réajuster que la porte s’ouvre. Nous voilà libérés.
Nous nous sommes depuis bien sûr recroiser mais sans jamais parler de cette aventures. Ce qui c’est passé ce jour là dans l’ascenseur y restera à jamais
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Par blacknono dans Mes histoires le 4 Février 2018 à 12:20
Je me prénomme Alexandre mais tout le monde m'appelle Alex, je suis un directeur d’une petite entreprise d’informatique de 38 ans. J’ai 10 employés dont une assistante de direction, Carène 30 ans. nous sommes célibataire tout les 2. Carène est une très jolie femme blonde au yeux bleus, elle dégage un charme de fou mais je me suis toujours refusé à répondre à ses avances car je ne veux pas mélanger travail et vie privée. Pourtant cela fait 1 an qu’elle me fait du rentre dedans avec des invitations à boire une verre chez elle, manger au restaurant et j’en passe.
Comme tout les midis je ferme les store de mon bureau pour manger tranquillement devant la télé. Les employés, eux, mangent dans la salle de pause ou dehors. Je m’installe dans la canapé qui est dan mon bureau, je me met à l’aise en enlevant ma veste de costume et commence à manger un sandwich jambon beurre.
Tout d’un coup quelqu’un frappe à la porte, je l’invite à entrer. Carène se présente devant moi. Je suis surpris car normalement elle devrait être en pause repas également. Surpris je lui demande ce qui l’amène, elle se retourne sans rien dire pour fermer la porte à clés. Je reste interloqué.
Elle se retourne face à moi et me lance «Ecoute cela fait 1 an que je te fais du rentre dedans alors je sais que je te plais alors maintenant tu te tais et tu te laisse faire » Je reste bouche bée, je ne sais pas quoi dire, pas quoi faire. Carène s’approche de moi, laisse tombé sa longue jupe pour laisser apparaitre une magnifique culotte surmontée d’un porte jarretelle, ce dernier est accroché a des bas résille digne d’un filme pour adulte. Tout en s’avançant vers moi elle dégrafe son chemisier et ce que j’imaginais se confirme, Carène a une poitrine merveilleuse. Je reste littéralement stoïque, je n’arrive pas à réaliser ce que ma secrétaire de direction est en train de faire.
Je n’ose plus bouger mais la voilà devant moi, debout, en sous-vêtement. Elle s’assoit sur mes genoux et commence par défaire ma chemise boutons par boutons. Tout en caressant mon torse elle l’enlève et la fait voler dans la pièce. Je bande déjà bien dure dans mon pantalon à pince et carène le sens. Tout en me fixant dans les yeux elle me lance « Je vois que je te fait de l’effet malgré tout ce que tu as dis jusqu’à maintenant. Je vais vérifier cela par moi même »
Carène se laisse glisser entre mes cuisses et sans perdre plus de temps dégrafé ma ceinture puis mon pantalon puis comme pour la chemise l’enlève et le fait voler à travers la pièce. Ce dernier enlevé apparait alors mon boxer avec une bosse non dissimulable. A voir le sourire que Carène me lança je comprend qu’elle est heureuse de voir ça.
Ma secrétaire de direction commence à couvrir mon entre jambe encore dans son boxer de bisou, elle l’enlace de ses lèvres. elle enlève enfin ce mon boxer et laisse apparaitre ma queue dure comme du béton. Encore une fois elle me lance un sourire et me dit « Je vais enfin pouvoir la sentir »
Sans se faire attendre elle ouvre grand la bouche et la gobe tel une glace. Elle l’enfonce tout au fond de sa bouche et commence à me sucer. Putain qu’elle suce bien. Elle commence des allers retours lents prenant soins de l’avaler complètement, n’en oubliant aucuns cm. A voir l’ardeur qu’elle y met je comprend qu’elle est heureuse et prend son pied.
Je suis tellement excité par cette vue que je sens déjà ma jouissance arrivée. Je ne le cache pas et lui dit. Sa réponse est brève et direct « laisse toi aller et donne moi tout » et elle reprit sa divine pipe de plus belle. Je ne pus résister plus longtemps et lui envoya toute ma semence au fond de la gorge. Carène avala tout ce que je lui donna puis lècha longuement ma tige pour la nettoyer et je pense surtout en profiter plus longuement.
Je suis toujours bien dur, Carène se redressa et vint s’installer au dessus de moi. Je l’arrête, l’attrape pas les hanches. « Je suis ton bosse alors c’est moi qui vais prendre les choses en mains »
Je la couche sur mon canapé, lui hôte sa culotte ainsi que son soutien-gorge pour libérer une divine poitrine qui au vue comme ses tétons pointent elle n’attendait que cela. La pose repas n’étant pas extensible je ne perd pas de temps et glisse ma tête entre ses cuisses. Je découvre une chatte rasé et vraiment très très belle. Allez hop je sors ma langue et la pose sur ses petites lèvres pour essayer de les écarter. Celles-ci s’écartent sans difficulté et en s’ouvrant laisse échapper un file de cyprine. Madame est déjà trempée.
Je commence à faire glisser ma langue de l’entrée de sa vulve, lapant au passage cette mouille qui est présente, remontant jusqu’à son clitoris. Ce dernier est d’une taille juste parfaite, je commence à jouer avec. Je lui donne des coups de langue de plus en plus appuyés, Carène commence déjà à se tortiller. J’appuie mes coups de langues de plus en plus, je fait rouler son clitoris sur ma langue puis je l’aspire. Je l’englobe de mes lèvres et l’aspire tout en jouant avec ma langue. Carène étouffe ses cris dans un coussins, je sens qu’elle n’en peux plus, qu’elle résiste. E
Sa résistance fût brève car d’un coup je sens jaillir un flot de liquide chaud et délicieux dans ma bouche. Carène joui telle une fontaine, j’adore cela. Je la laisse souffler et reprendre ses esprits.
Au bout de 2 minutes mon assistante me lance « Tu attends quoi? prend moi maintenant » en finissant sa phrase elle se mit à genoux sur le canapé, cambra son bassin me présentant sa croupe. Je vint donc m’installer derrière elle, présenta ma queue à l’entrée de sa chatte et c’est elle d’un coup sec qui se pénétra. Elle poussa son bassin pour faire entrer ma queue au plus profond de son intimité. Sans rien dire elle commença à se baiser avec ma queue mais je lui rappela qui était le patron, l’attrapa par les hanches et fît ce qu’elle me demandait depuis un moment déjà. Je commença à la baiser sauvagement. Je tapais si fort au fond de sa chatte que son cul rougis, elle était obligé de coller son visage dans un coussin pour étouffer ses cris. Carène est tellement sexy vue de dos et excitante que j’ai déjà envie de jouir à nouveau. Je le lui dis et elle me dit de suite qu’elle aussi, je continue à la limer intensément et je l’entend et la sens jouir une nouvelle fois. Je lui annonce que je vais jouir également, elle sort ma queue de sa chatte, s’agenouille devant moi et attrape de ses mains mon membre pour l’astiquer. Elle ne mit pas longtemps à me faire jouir et une nouvelle fois elle me fit jouir dans sa bouche chaude. Elle avala toute ma jouissance, se releva.
L’heure de pause est finie il faut vite se rhabiller, aérer le bureau et le plus important qu’elle sorte de mon bureau ni vu ni connu. Nous discuterons de cela plus tard.
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Par blacknono dans Mes histoires le 21 Janvier 2018 à 16:53
Nous voilà en week-end, nous sommes samedi matin. Jennifer est parti faire quelques courses. Moi je me suis levé, j’ai bu un café et en regardant par la fenêtre je vois qu'il pleut. je me dis que ce n'ai pas aujourd'hui que nous allons sortir nous promener je décide donc de faire couler un bain, en attendant je créer une playlist sur l’application que j’utilise pour écouter de la musique.
Voilà le bain qui est fini de se remplir, je me déshabille. J’enlève mon t-shirt que je met au sale car il sent encore le transpiration dû au câlin torride que Jennifer et moi avons pratiquer hier. J’enlève mon pantalon puis enfin mon boxer. je mesure 1m75 pour 70kg, châtain yeux marron plutôt sportif. Maintenant nu je me glisse dans la baignoire remplie. L’eau est chaude à souhaite , ça fait du bien. Je ferme les yeux en écoutant la musique.
Je commence à rêver. Mes rêves sont chauds. Je suis dans un bain quand ma femme fait irruption dans la salle de bain, me fixe du regard. Tout en plongeant son regard dans le miens je vois son pantalon tomber à ses pieds accompagné assez vite de son t-shirt. Je suis surprise de la découvrir nue sous sa tenue. Très vite elle me rejoins dans l’eau. Elle vient contre moi, commence immédiatement à m’embrasser. D’abord sur la bouche puis dans la cou, ce qui a pour effet de me faire frissonner. En même temps ces mains parcourt mon corps remontant le long de mes cuisses, je frissonne encore plus. Je sens mon intimité durcir, se dresser. Jennifer le voit et fait remonter ses mains jusqu’à ce dernier.
Une fois ces mains arrivés au niveau de mon sexe, elles l’enlacent immédiatement et commencent à le caresser de haut en bas. Mes mains caressent le corps de ma femme jusqu’à également atteindre son beau sexe. Je commence à jouer avec son clitoris pendant qu’elle s’active son mon sexe déjà extrêmement dur. Nous nous embrassons tout en nous masturbant mutuellement. Elle me regarde droit dans les yeux et me dit «J’ai envie de te prendre en bouche alors ne bouge pas » j’obéis et ne bouge pas. Elle descend le long de mon corps tout en me couvrant de bisous pour arriver au niveau de mon bas ventre. Je sens sa langue qui commence à jouer avec mon gland. Elle l’attaque à coups de langue puis le lèche en suivant toute sa circonférence. Une fois qu’elle l’a bien lécher elle ouvre la bouche puis enveloppe de ses lèvres ma queue. Elle l’enfonce jusqu’à la garde, je me retrouve au fond de sa bouche, elle s’arrête un moment puis commence des vas et viens de haut en bas en accompagnant ses mouvements avec ses mains. Je suis au bord de l’explosion, je le lui dis. Elle ne s’arrête pas et accélère même le mouvement ce qui à pour effet je me faire jouir dans sa bouche. Elle arrête ses mouvements pour savourer mon jus, elle le lape et l’avale goulument.
Elle me regarde tout en se léchant les lèvres puis me dit « Maintenant fais moi jouir comme tu sais si bien le faire » Je reprend immédiatement de la vigueur. Jennifer prend appuie contre le mur de la salle de bain, les pieds dans la baignoire. Elle cambre la croupe. De ma place j’aperçois parfaitement ses courbes. Ses magnifiques seins 95C pointent comme rarement je les ai vue pointés. Mon regard descend ensuite le long de son ventre pour arrivé au niveau de ses fesses fermes et arrondies comme je les aime. Elle me coupe dans ma contemplation pour me demander de me dépêcher de venir la prendre.
Je me relève, me place derrière elle en me plaquant contre son dos. Ma queue est collée à son minou que je sens couler de plaisir. Elle pousse à l’aide de ses doigts ma queue pour la faire rentrer dans son intimité qui visiblement n’attendait que cela. Je m’immisce au plus profond de sa grotte. C’est chaud, humide ma femme m’accueille dans les meilleurs conditions. Je commence mes allers retours, d’abord doucement et avec douceur. Ma femme gémis déjà, son corps tremble et se raidis petit à petits. Je l’attrape par les seins, je lui malaxe, caresser avec fermeté. J’attrape ses tétons qui pointent comme jamais et joue avec pendant que ma langue suçote ses lobes d’oreilles ce qui a pour effet de mettre ma femme dans un état indescriptible. J’accélère les mouvements, mes mais ont abandonnées ses tétons pour jouer avec son clitoris. Mes mouvements deviennent de plus en plus fort et rapide au fur et à mesure que je sens ma femme s’approcher de l’orgasme. Elle croit de plus en plus fort, je sens sont corps se crisper de plus en plus. Elle cris qu’elle va jouir, je l’encourage à se laisser aller et lui répond que moi aussi je vais jouir. J’accélère encore le mouvement. Mon bassin claque contre ses fesses, j’ai une main qui joue avec son clitoris quand l’autre joue avec ses tétons, avec ma bouche je suçote toujours ses lobes d’oreilles tout en lui chuchotant que je vais jouir. Et voilà ma femme crier de plaisir, je m’arrête et me déverse en elle. Je sens du liquide chaud couler le long de mon sexe. Ce mélange de jouissance masculine mais surtout de cyprine venant du corps de ma femme est chaud, il coule le long de ma tige qui bien ancrée au fond du minou de ma femme.
Nous restons un moment dans cette position. Je l’embrasse dans le cou. Au bout d’un moment elle attrape ma queue pour la sortir de son intimité, elle se retourne et m’embrasse. Nous nous embrassons longuement et amoureusement.
J’entends du bruit. J’ouvre les yeux. C’est irréaliste.
Je m’étais endormi dans mon bain et avait rêvé cette scène. Je n’en reviens pas. ce rêve était si réaliste.
Le bruit que j'ai entendu est ma femme qui revient des courses. Celle-ci fait irruption dans la salle de bain.
Que va t-elle faire?
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Par blacknono dans Mes histoires le 21 Janvier 2018 à 16:52
Je commence à somnoler puis m’endormir. Je m’endors avec pleins de belles images en têtes. Alors que je plongeais au pays de Morphée je sens les draps se soulever puis reprendre place sur mon corps nu, je sais que c’est Jean-Luc qui vient de se coucher derrière moi. Il se colle à moi, il es nu. Je sens son torse légèrement poilu se coller contre mon dos, une de ses mains passe sous ma nuque pour se poser sur mes seins, l’autre mains passe par d’abord sur mon épaule gauche puis descend le long de mon ventre pour se poser sur ma fesse gauche. Je le sens qui me serre fort. La main qui était posée sur mes fesses remontes pour rejoindre la première et me serrer encore plus fort. Il approche son visage de mon oreille et me susurre « Joyeux Noël ma merveilleuse femme » je ne tiens plus je me retourne pour littéralement lui sauter dessus. Je me retrouve sur lui et je sens son engin déjà au garde à vous. Je le fixe du regard et lui souhaite également un joyeux noël puis je l’embrasse encore et encore. Je me frotte à lui, je colle l’entrée de ma vulve sur son gland et le frotte contre.
Nous étions collé l’un à l’autre, moi sur lui. Son gland se frottais contre ma vulve se qui avait pour effet d’ouvrir légèrement les petites lèvres mais je le retenais de me pénétrer. Jean-Luc m’embrassait toujours mais je me releva puis entrepris de l’embrasser dans le cou, puis je descendis le long de son torse m’attardant sur son téton droit qui se mis à pointer immédiatement, puis j’alla m’occuper du gauche qui pointais déjà. je continua mon chemin en embrassant son ventre et en suivant ce petit chemin du bonheur composé de poil je descends jusqu’à ce pénis qui essayait de me pénétrer depuis un moment déjà.
Je n’en pouvais plus je voulais tellement sentir mon homme en moi. Je décida de laisser tomber la fellation pour remonter au niveau du visage de Jean-Luc et tout en le regardant je donna un coup de rein au dessus de sa queue ce qui la fit entré en moi, enfin dirais-je. Je me pénétra le plus profond possible et commençais mon travail de vas et viens sur son sexe. Les mains de Jean-Luc se posa sur mes fesses pour les agripper fermement et me donner un rythme. Nous ne nous sommes pas vue depuis une semaine je sais donc d’avance que mon mari ne va pas trainer pour se répandre en moi. Je sais également que ce qu’il aime par dessus tout c’est me prendre en levrette alors j’arrête de le chevaucher. Je me positionne à quatre pattes à côté de lui. Je cambre bien ma croupe et lui souhaite une nouvelle fois un joyeux nöel en l’invitant à me faire crier de plaisir.
Jean-Luc se redresse, se positionne derrière moi et positionne sa queue à l’entrée de ma chatte. Il me dit à quel point il m’aime et d’un coup sec se retrouve au plus profond de mon intimité. Il ne bouge plus, attrape mes seins de ses mains. Jean-Luc commence à jouer avec mes tétons qui pointent énormément, en même temps il me lèche les lobes d’oreilles et moi je fond littéralement. Je me sens couler, sur sa queue. Je baisse la tête et vois que les draps commencent à le ressentir eux aussi. Je jouis et je ne console plus rien. Il l’a senti et commence à me limer. Il tape fort, Il tape profondément et moi je jouis encore. Il accélère le mouvement, je sens ses bourses taper contre mon pubis, son pubis frapper contre mon cul. Je lui cris de tout me donner, je l’incite à y aller encore plus fort. Et il ne se fait pas prier il y va vraiment très fort. Nous crions tellement c’est bon. Nous crions encore plus fort quand tout d’un coup je l’entend crier encore plus fort et en même temps un liquide chaud se répondre en moi. Un jet, deux jets, trois jets. Oui l’amour de ma vie, Jean-Luc, est en train de me remplir de sa semence. J’en jouis de plaisir tellement c’est bon. Je me liquéfie, nous tombons l’un contre l’autre heureux de nos retrouvailles, heureux de toute cette jouissance, heureux pour tout.
Mon homme est rentré à la maison, nous nous sommes retrouvé dans une baise incroyable et maintenant nous nous enlaçons pour nous faire un câlins des plus tendre avant de se préparer pour fêter Noël en famille.
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Par blacknono dans Mes histoires le 7 Janvier 2018 à 16:35
Je me prénomme Marie je suis en couple avec Jean-Luc depuis 10 ans et cette année nous fêterons donc notre 10 ième noël ensemble. Jean-Luc est routier, cette année il travaille le 24 décembre et rentrera le 25 au matin. Pas de réveillon de noël pour nous cette année.
Je me pose dans le canapé ce 24 décembre au soir pour regarder la télé, comme tout les ans il y a des émissions enregistrées ou les présentateurs fétiches des chaînes de télé simulent une fête de réveillon avec des stars. C’est nul ce qui me décide à aller me coucher dans mon lit. Je me glisse sous ma couette nue, mon lit est froid et cela fait pointer mes petits seins. J’ai hâte de retrouver mon amour, lui sauter dans mes bras et qu’il me fasse l’amour sauvagement sur le canapé. Rien que d’y penser j’en suis toute mouillée. Je décide d’essayer de dormir pour vite être demain matin et retrouver mon chéri.
Comme je vous l’ai dis je me suis couché nue mais j’ai aussi laissé la porte d’entrée ouverte, des fois que Jean-Luc arrive plus tôt cette nuit. Certes il a les clés mais je veux lui facilité son arrivée. Il est 23h je m’endors avec l’envie de le sentir en moi. J’ai envie de le sentir me pénétrer, l’entendre me sussurer qu’il m’aime, que je lui donne envie de jouir puis enfin ressentir sa jouissance en moi.
Dans la nuit, je ne saurais dire l’heure, je suis très légèrement réveillé par des mains de posant sur moi. Je les sens caresser mes seins, jouer avec mes tétons. Ces derniers deviennent durs immédiatement. Une bouche m’embrasse dans le cou, lèche mes lobes d’oreilles. Je suis humide, je me sens couler. J’ai envie d’ouvrir les yeux mais je n’y arrive pas, est-ce un rêve?
La couette se soulève, je me vois nu dans mon lit. Un homme, je ne reconnaît pas mon homme mais je ne suis pas réveiller peut-être suis-je en train de rêver, des mains caresse mon corps. Elles descendent le long de mon ventre après avoir bien jouer avec mes seins. Je n’en peu plus j’ai envie de jouir. Je sens un air chaud sur mon minou puis quelques secondes plus tard une bouche. J’ai envie d’attraper cette tête pour la plaquer contre ma chatte et qu’il me la bouffe mais je n’y arrive pas. Je n’en ai en fait pas besoin car immédiatement une langue se met à jouer avec mon clito. Celui-ci est déjà extrêmement dur, je le sens gonflé à bloc et d’ailleurs au bout de seulement quelques coups de langues je me répand dans mon lit dans une jouissance surpuissante. Je sens que mon lit est trempé, je sens également une bouche accompagnée de sa langue qui me lèche à nouveau. Puis d’un coup plus rien. Tout s’arrête, je suis frustré. Je n’arrive toujours pas à me réveiller.
Je sens quelque chose effleurer mes lèvres, essayer de les écarter. J’ouvre ma bouche. Quelque chose de dur, très dur je dirais même s’y introduit. C’est une bite. Je referme ma bouche, elle est froide mais dure mais vraiment très dure. Elle commence à me baiser la bouche, des vas et viens lents, puis ils s’accélèrent et redeviennent lent. Elle est divinement bonne. Quelque chose me dérange tout du moins car je ne reconnaîs pas celle de Jean-Luc. J’arrive enfin à ouvrir les yeux. C’est la stupéfaction, pas une mauvaise surprise mais je ne m’y attendais pas. Nous nous fixons du regard longuement, moi toujours cette queue dans la bouche. Nous restons stoïque, que devons nous faire? Continuer ou tout arrêter.
Je décide d’attraper cette queue avec les mains et je continue à la sucer, l’humidifier surtout. Des mains attrapent mes cheveux et me donne le rythme. Je suis encore toute mouillée. J’attrape maintenant ses fesses pour amener l’engin que j’ai en bouche le plus profond possible, en même temps je caresse ces belles fesses que je connais déjà. En effet j’ai déjà eu le plaisir de les manger, les caresser. Je n’en peux plus j’ai envie de la sentir en moi.
J’arrête donc de sucer ce god ceinture attaché à la ceinture de ma voisine Nathalie. Je lui avais expliqué que Jean-Luc devait arriver que le 25 au matin et que je passerai donc le réveillons toute seul. Je l’avais prévenu que ja laissais également la porte d’entrée ouverte. Nous sommes bi toutes les deux et avons déjà eu l’occasion de câliner toute les deux. Je l’embrasse et lui demande pourquoi elle est là. Sa réponse fût simple « je voulais te livrer mon petit cadeau »
Nous nous embrassons, mes mains la caresse. J’embrasse ses seins, je les dévore même. J’ai envie d’elle. Je me présente à elle à genoux pour l’inviter à se positionner derrière moi et me pénétrer en levrette. Elle le compris de suite, je senti rapidement son god ceinture appuyer contre mon minou. Je le sens appuyer de plus en plus fort puis écarter mes petites lèvres et enfin se retrouver en moi. Au plus profond de moi. Je me lâche et lui cris « baise moi comme une chienne, je veux te sentir taper au fond » et sans rien dire elle se mit à me baiser comme je lui demande. Je joui encore et encore, je sens que ça coule, en baissant la tête je vous le matelas avec un énorme tache. Je ne veux pas que cela s’arrête et je lui dis alors elle continue. Je continue à jouir. Je suis tellement dilaté que je commence à ne plus le sentir c’est pour cela que là stop.
J’attrape le god en main, ce qui confirme l’état de ma chatte. Je le positionne à l’entrée de mon cul. Plus personne ne bouge. Nous ne disons plus rien.
Toujours sans rien dire et d’un coup sec je donne un coup de rein et me pénètre. J’amène le god le plus profond possible dans mon cul puis je commence des vas et viens. Au bout de quelques minutes c’est Nathalie qui prend le relais. Elle m’attrape par les seins et tape le plus fort possible au fond de mon cul. Je joui encore un nombre de fois incalculable. Je n’en peux plus. Je ressors le god de mon cul et m’allonge essoufflé sur le dos. Ma chérie nocturne viens contre moi pour m’embrasser. Je la serres contre moi pour l’embrasser également, nous nous caressons. Je la remercie enfin mais je lui dis que maintenant je veux qu’elle jouisse. Elle me stop et me dis « pas ce soir Jérôme va arriver, je vais l’attendre nue dans le lit tout comme toi et lui réserver mes jouissance. Tu auras la mienne bientôt »
Sur ces paroles elle m’abandonna pour retourner dans son lit conjugal. Moi je changea mes draps puis me recoucha nue dedans non sans imaginer mes voisins s’amuser dans le leur. Je regarde le réveil, nous sommes le 25 il est 7h mon cher et tendre va arriver. J’ai déjà envie de lui, ça va être sa fête.